Décidément MÖssieur le pseudo Tic Tac, ô combien l’adage « chassez le naturel il revient au galop » vous va comme un gant !
Mais pour prendre les gens pour des imbéciles il faut être plus intelligents qu’eux !
Car vous n’êtes pas « dégonflé »à l’instar de vos affiliés grutiers, pour dire tout le mal que vous pensez des mères : castratrices, vénales, voulant « bouffer » du père, manipulatrices, maltraitantes etc. les pères étant bons par essence, comme ceux sur les grues qui, pour l’un s’était vu retirer son autorité parentale pour enlèvement d’enfant,l’autre mis en examen pour agression sexuelle sur sa fille, l’autre mis en examen pour violence conjugales etc. Des pères qui faisaient tout pendant la vie commune !!
Et lorsque vous reconnaissez, ne pouvant faire autrement, qu’il y a aussi une souffrance des mères, c’est pour mieux la zapper ensuite !
Et comme c’est éclairant de votre état d’esprit, de vous référer à une mission parlementaire comme le chiendent s’accroche à une pelouse ! Sans doute que les lois de Vichy avaient été aussi bien réfléchies émanant de parlementaires !!!
Et j’ose espérer que cohérent jusqu’au bout vous emmenez votre gosse en consultation auprès de madame Pécresse ou du sénateur About, peut-être même au sociologue G. Neyrand ........car les psy, ceux qui sont spécialistes en santé mentale infantile, ont tous tenus les mêmes propos ! mais qu’importe pour notre pseudo Tic Tac !
Eclairant de ce qui trotte dans votre tête lorsque vous reprenez cet argument aussi stupide qu’incroyable « des médecins qui ne voient pas ceux qui se portent bien » !!!! peut-être faudrait-il les obliger à consulter, remboursement sécu en prime ? Pourquoi alors interdire le tabagisme, les médecins ne voyant que ceux des fumeurs qui vont mal ?
Pour ma part je ne me permettrai pas de vous traiter d’anti féministe et/ou athée, ne voyant aucun rapport avec le sujet, mais pour la violence, vos propos en transpirent.
Mon « esprit étriqué » vous rappellera juste que durant la vie commune, ce sont ces « salopes de féministes » de mères qui s’occupent essentiellement des enfants, et les pères aux grues s’en accommodent alors fort bien !
Mais pendant la vie commune ça ne compte pas !