Un diagnostic, quel qu’il soit, ne se fait pas sur des supputations, des croyances, une conviction personnelle ou pire encore, sur « mon flair me dit... » Le« syndrome d’aliénation parentale » (SAP) ne repose encore aujourd’hui sur aucune base scientifique et c’est si vrai que la nouvelle mouture du DSM 5 ( Diagnostic and Statistical Manual) a refusé son inclusion malgré le lobbying intense qu’ont fait quelques individus, faute de preuves empiriques suffisantes. Le responsable au DSM de l’enfance et l’adolescence avait en effet demandé à des chercheurs connus internationalement en tant que références comme spécialistes des divorces très conflictuels et leurs conséquences sur les enfants, et qui sont tous directeurs ou membres d’un programme de recherche sur l’aliénation parentale leur avis sur cette inclusion.
Voici leur réponse qui détaille point par point les raisons pour lesquelles ils sont opposés à cette inclusion : une insuffisance de connaissances qui favorise toutes les erreurs de diagnostic :
En 2013 une étude demandée par le ministère de la justice américaine démontre combien ce concept est dangereux par se multiples erreurs de diagnostic qui mettent des enfants en grand danger :
Et vous voulez nous faire croire que vous êtes avocat ???
Après une mission parlementaire et des députés qui sont vos seules références , voici le site de droits des pères pur jus, tenu par un type qui n’a même pas le courage de le faire sous son vrai nom !
Je vous soupçonne de faire une aliénation parentale :)
Si une grue ne vous convient pas, essayez la spéléologie...
Une nouvelle occasion perdue de vous taire, MÖssieur Tic Tac !
J’ai répondu X fois à ce pousseur de brouette dont la seule obsession est d’avoir été déshérité par son père ! Et d’autant moins digéré qu’il a reconnu que son père et lui avaient renoué contact depuis des années et s’entendaient bien !
Et je peux même vous annoncer la suite : le pousseur de brouette va aussitôt intervenir pour dire que J. Phélip ose se réjouir qu"il ait été déshérité !!!
Dites-moi quels sont vos amis je vous dirai ce que cous êtes.....
Décidément MÖssieur le pseudo Tic Tac, ô combien l’adage « chassez le naturel il revient au galop » vous va comme un gant !
Mais pour prendre les gens pour des imbéciles il faut être plus intelligents qu’eux !
Car vous n’êtes pas « dégonflé »à l’instar de vos affiliés grutiers, pour dire tout le mal que vous pensez des mères : castratrices, vénales, voulant « bouffer » du père, manipulatrices, maltraitantes etc. les pères étant bons par essence, comme ceux sur les grues qui, pour l’un s’était vu retirer son autorité parentale pour enlèvement d’enfant,l’autre mis en examen pour agression sexuelle sur sa fille, l’autre mis en examen pour violence conjugales etc. Des pères qui faisaient tout pendant la vie commune !!
Et lorsque vous reconnaissez, ne pouvant faire autrement, qu’il y a aussi une souffrance des mères, c’est pour mieux la zapper ensuite !
Et comme c’est éclairant de votre état d’esprit, de vous référer à une mission parlementaire comme le chiendent s’accroche à une pelouse ! Sans doute que les lois de Vichy avaient été aussi bien réfléchies émanant de parlementaires !!!
Et j’ose espérer que cohérent jusqu’au bout vous emmenez votre gosse en consultation auprès de madame Pécresse ou du sénateur About, peut-être même au sociologue G. Neyrand ........car les psy, ceux qui sont spécialistes en santé mentale infantile, ont tous tenus les mêmes propos ! mais qu’importe pour notre pseudo Tic Tac !
Eclairant de ce qui trotte dans votre tête lorsque vous reprenez cet argument aussi stupide qu’incroyable « des médecins qui ne voient pas ceux qui se portent bien » !!!! peut-être faudrait-il les obliger à consulter, remboursement sécu en prime ? Pourquoi alors interdire le tabagisme, les médecins ne voyant que ceux des fumeurs qui vont mal ?
Pour ma part je ne me permettrai pas de vous traiter d’anti féministe et/ou athée, ne voyant aucun rapport avec le sujet, mais pour la violence, vos propos en transpirent.
Mon « esprit étriqué » vous rappellera juste que durant la vie commune, ce sont ces « salopes de féministes » de mères qui s’occupent essentiellement des enfants, et les pères aux grues s’en accommodent alors fort bien !