Puisque vous cherchez des auteurs d’articles, en voici un - ou plutôt un extrait - posté ici le 2 août 2012 et qui avait fort déplu à bon nombre ; mais les informations que vous relayez ici me confortent aujourd’hui dans la pertinence du propos d’hier :
Force est de constater que le monde va à grands pas vers une sorte de « néo-communisme », une nouvelle forme de dictature post-moderne, avec non pas un Parti ou « Chef » mondial, mais avec une ploutocratie mondialisée qui, plus ou moins en coulisses, dirige et oriente le monde via tout un tas d’institutions internationales telles que le FMI ou OCDE, d’organismes guerriers comme l’OTAN, ou encore via les « démocraties représentatives » occidentales dont la tête de pont sont les USA et son principal poisson-pilote : l’Union Européenne.
Que veulent ces gens, ces « ploutocrates » du nouveau monde sans frontières ? Et d’ailleurs, n’est-il pas « complotiste » de penser qu’il existerait une convergence d’intérêts au sein d’un monde aussi divers que complexe ? Et à l’heure où l’on ne cesse d’utiliser à tort et à travers les termes « libéralisme », « néo-libéralisme » ou « ultra-libéralisme », est-il judicieux de parler de l’avènement d’un « néo-communisme » mondialisé ?
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Les ploutocrates de la Banque et des grands groupes transnationaux ayant pris le pouvoir dans les « démocraties d’opinion » depuis fort longtemps grace au contrôle des grands médias et des partis politiques dits « de gouvernement », comment pourraient-ils supporter encore longtemps que des pays résistent encore à leur volonté hégémonique ?
Les buts communs de cette ploutocratie internationale sont l’avancement d’un monde sans frontières, sans nations souveraines et indépendantes (et donc sans appareil militaire autonome), sans monnaies fiduciaires nationales (monnaie « électronique » quasi mondiale après l’effondrement économique global que certains prophétisent, et donc un contrôle total des échanges et du travail), une surveillance sans cesse accrue des individus doublée d’une perte des libertés individuelles (au nom, par exemple, de la fameuse « lutte contre le terrorisme islamiste » qui fait chaque jour tant de ravages en France comme chacun sait), un monde sans écarts de salaires ou de niveau de vie (nivellement par le bas que nombre de peuples occidentaux subissent déjà), ce qui amène à la fin des classes sociales traditionnelles et à l’émergence de deux classes uniques : une micro-élite de dirigeants-possédants au-dessus, et en-dessous le peuple mondial auquel on laissera comme toute possession (à crédit) quelques jouets technologiques aussi divertissants qu’asservissants, un monde où le « melting-pot » ethnico-culturel devra être la seule et unique culture dominante et la seule médiatisée, un monde aussi de l’indifférenciation programmée des sexes. Plus rien ne devra promouvoir ou favoriser l’idée même de la différence, car le différent tend à se singulariser.
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(L’article complet et ses commentaires)