Et bien entendu, tout comme ailleurs, nullement question dans cet article, de démographie.
Pourtant, aucune
des politiques menées par les Etats, notamment économiques et
sociales, avec leurs aspects écologiques, migratoires, de l’emploi,
de santé publique, de sécurité, etc. ne peut avoir de sens si ne
sont pas pris en compte les fondamentaux de la démographie mondiale
et les problèmes (dont la pauvreté, la violence et les atteintes à
l’environnement) qu’elle génère inexorablement.
L’empreinte
écologique de l’humanité résulte d’une transfusion à son profit
des ressources limitées de son habitat qu’est la terre. C’est ce qui
est extorqué à celle-ci pour le développement de l’espèce la plus
performante de toutes, notamment en termes de prédation
L’écologie
en tient-elle compte , quand elle néglige que chaque jour 200 à 250
000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la terre ? Quand
elle est mise au service d’intérêts politiques partisans, plutôt
que défendue par eux. ? Non ! Elle n’est plus l’écologie mais une
idéologie comme une autre, luttant pour la conquête du pouvoir, à
des fins noyées dans un flot de revendications démagogiques.
Elle
devient écopolitique, véhiculée par les
partis qui la servent à travers le prisme de leurs ambitions et
surtout s’en servent, en ignorant les effets d’une croissance
démographique incontrôlée.
Le
seul combat écologique qui vaille est désormais celui conduisant à
limiter la taille et les proportions de la pyramide sociale, pour
l’adapter aux ressources de la planète. Et c’est une utopie contre
nature que d’imaginer l’homme renonçant au développement et au
progrès dont il est porteur.
Pour
approfondir cette réaction, voir :
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
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schémaset tableaux, à l’intention des visiteurs que décourage la
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