@ Epicure : EN fait les musulmans sont mal placés pour accuser les occidentaux
de certaines choses, car au vu de leur histoire ( c’est important
l’histoire n’est pas muslim ) ils sont mal placés pour donner des
leçons, au moins en occident on reconnait les tords historique , les
erreurs du passé et on sait condamner le passé. Mais ce sont des
attitudes qui ne font pas partie de la culture musulmane ( c’est
important de garder sa culture, n’est ce pas muslim ?)
Et en musulmanie, on ne saurait pas le faire ? Qu’en sais-tu ? La culture de la « condamnation » vous est effectivement propre, il faut « condamner », entendre il faut « verser des larmes de crocodiles ». Si vous aimez la fausseté et l’hypocrisie, alors profitez de cette « culture ». « Condamner » ... escroquerie. Pour ce qui est de la reconnaissance des torts, je ne vois pas plus de sincérité, puisque vous continuez de reproduire sous des formes diverses ces « torts », du néocolonialisme à l’ « évangélisation » des populations barbares du Sud. Il n’y a qu’à vous lire, nul besoin d’interpréter vos propos.
La grande différence entre la traite arabe et la traite occidentale, de l’avis des historiens africains, c’est que le Noir n’était pas animalisé, bestialisé. Et ce réflexe d’animalisation, les Occidentaux, Espagnols, Anglais, Portugais, Français, Hollandais, l’ont tous eu. Les Améridiens étaient des animaux. Les Noirs étaient des animaux. Les Arabes étaient des animaux. Les Chinois étaient des animaux. Peut-être souhaitez-vous des citations d’ouvrages que (pour ma part) je lis ?
Un autre point unanimement reconnu, c’est que l’Afrique garde des cicatrices béantes et purulentes des « contacts » qu’elle a eu avec la folie blanche, cicatrices qui ne sont pas prêtes de se refermer.