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Commentaire de Constant danslayreur

sur Le « nikah djihadiste » ou la prostitution halal


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Constant danslayreur 21 octobre 2013 08:01

Paco,

Après vos insultes gratuites sur le fil de Rosemar je m’étais promis de vous accorder un intérêt en conséquence, mais je vais faire une exception.

Si je n’ai pas traduit contrairement à mon habitude sur ce site, c’est pour deux raisons, la première étant que mon interlocutrice n’est pas forcément ce qu’elle prétend être. Le prénom de la mère du nazaréen - Marie - se décline également en Myriam, mais chez les musulmans, ce Myriam devient non pas Myriem - Le pseudo utilisé et impossible à rencontrer en terre d’Islam - mais Meriem, c’est du reste comme ça que je l’ai interpellée en plus de l’usage de l’Arabe attendant une réaction quelconque qui n’est pas venue mais bon, je n’en fais pas une fixette non plus.

La deuxième raison, partant du principe qu’elle serait en effet ce qu’elle dit être, est que j’ai estimé que c’était vraiment un « private joke » pas du tout susceptible d’intéresser qui que ce soit d’autre que Meriem et moi même, mais puisque vous insistez...

Le prophète de l’Islam avait un fils adoptif Zeid fils de Haritha qu’il aimait beaucoup et il aimait encore plus le fils de Zeid, Oussama au point de le traiter comme égal de ses petits enfants Hassan et Hussein et au point surtout de lui confier plus tard à l’âge de 20 ans et la veille de sa mort, le commandement suprême d’une armée levée contre les byzantins et ayant sous ses ordres des... « éléphants » diraient les socialistes, parmi ses proches compagnons, un môme de 20 ans...

Vers ses 18 ans et lors d’une bataille contre les « associateurs » polythéistes, Zeid a eu le dessus sur l’un d’entre eux. Au moment où il levait le sabre pour le tuer, l’homme à terre prononça la profession de foi de l’Islam : « Il n’est de divinité que Dieu ». Zeid l’a quand même tué.

Plus tard et pris de remords il en a parlé au prophète qui entra dans une grande colère et le lui reprocha en des termes terribles lui disant que feras-tu le jour du jugement face à sa parole ?

A une phrase de Zeid voulant qu’il n’avait dit ça que par peur de la mort, le prophète de l’Islam l’a sévèrement rabroué en lui disant quelque chose comme « as-tu donc ouvert sa poitrine pour lire dans son cœur ? » comprendre sa sincérité ou son hypocrisie ?

Bref, je rappelais à Meriem que sa foi lui interdisait de s’arroger la prérogative exclusivement divine de décréter qu’un tel est un vilain de chez méchant damné lorsqu’un autre est un gentil de chez béat l’élu le bienheureux.

Je vous ai répondu, je vous prierais dorénavant de garder votre mépris pour plus nécessiteux et surtout ne plus vous adresser à moi n’ayant vous et moi plus grand chose à nous dire, merci. 


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