Ci-dessous, un extrait de l’article de Wikipedia consacré à la fête de l’Aïd. Comme on pourra le constater, cette fête n’a absolument aucun rapport avec l’histoire du sacrifice d’Abraham dans la bible, et encore moins avec ce que je racontais dans mes divagations à propos de l’idée d’une nécessaire SOUMISSION à Dieu prônée par l’Islam.
Je considère personnellement ce répugnant épisode de la Bible comme la matrice de tous les fanatismes : à partir du moment où on a Dieu dans sa poche, quand c’est au nom de Dieu qu’on tue, y’a pas d’problème !
L’Aïd al-Adha (en arabe عيد الأضحى, « fête du sacrifice ») ou Aīd al-Kabīr (العيد الكبير « la grande fête » par opposition avec l’Aïd el-Fitr appelé aïd el-seghir, ou petit aïd), est la fête la plus importante de l’islam. Elle est appelée Tabaski en Afrique de l’Ouest. Elle a lieu le 10 du mois de dhou al-hijja, le dernier mois du calendrier musulman, après waqfat Arafa, ou station sur le mont Arafat et marque chaque année la fin du hajj.
Cette fête commémore la soumission d’Ibrahim (Abraham dans la tradition juive) à son Dieu, symbolisée par l’épisode où il accepte d’égorger son alors unique fils Ismaël1
sur l’ordre de Dieu. Après son acceptation de l’ordre divin, le Dieu
envoie l’archange Gabriel qui substitue au dernier moment l’enfant par
un mouton qui servira d’offrande sacrificielle. En souvenir de cette
soumission totale d’Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes
sacrifient un animal selon les règles en vigueur.