Réponse à l’auteur...
Mon dieu, sur les fond, nous somme tous frères et de proche en proche, rien ne nous empèche d’intégrer un pays ou un autre, au grés de nous interêts immediats.
Dans ma réponse, je me suis probablement mal exprimé si nous ne nous sommes pas copmpris, je ne pretends pas opposer les uns ou les autres, j’essayais seulement de mettre un contrepied à votre position, où vous semblez admettre que la Turquie devraient être avec nous pour que nous puissions rivaliser avec des blocs comme la Russie la chine etc... avec un tel raisonnement ils serait urgent de faire rentrer le Chili ou l’Argentine pour rivaliser avec le Bresil, puis le Bengladesh pour rivaliser avec l’Inde etc...
D’abord, cela suppose une vision competitive de l’UE alors que nous n’avons pas besoins de nous battre commercialement avec les autres, notre qualité intrinsèque est suffisante avec une maitrise cohérente de nos frontières...
Et ensuite cela voudrait dire que l’UE, au même titre que les autres ensembles peuvent (et doivent) être hétérogènes pour affronter les defis de demain.
Je m’inscrit naturellement en faux envers votre proposition. L’UE sera d’autant plus « forte » qu’elle sera homogène, dans ses frontières comme dans sa culture, ses valeurs etc...
L’avenir n’est pas comme vous le croyez une competition au couteau entre bloc, mais une collaboration aux liens plus ou moins serrés entre les acteurs significatifs (en taille mais pas seulement).
La Turquie, malgrés votre moquerie sur les arguments que vous citéz n’est pas en Europe, sauf un petit bout de notre coté du Bosphore. Cela ne suffit pas pour la faire rentrer de plein pied en Europe avec ses étendues jouxtant l’Irak par exemple.
La Turquie, malgrés ce que vous dites également ne partage pas nos valeurs, même si vous mettez en avant les avancées timides et je ne vois pas du tout en quoi nous devrions lui demander de changer, elle, pour nous faire plaisir et venir s’intégrer a nos pays. C’est un pays islamique comme nous nous sommes un pays chretien, avec ses caractéristiques propres qui ne sont pas pres de changer.
Quand aux autres arguments, même si ils sont mineurs, il n’y en aurait qu’un seul contre que cela devrait suffire pour ne pas confondre traités commerciaux, traites d’amitiés, accords de défense, culturels etc avec INTEGRATION de la Turquie !
Je comprends votre ouverture d’esprit, et tous les bons sentiments que vous montrez, mais je vous demande de comprendre aussi les sentiments de ceux qui aiment accueillir des amis (les turcs) mais qui sont également heureux quand ceux ci retournent chez eux. nous ne sommes pas mariés avec, et j’espère que nous ne le seront pas !