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Commentaire de Constant danslayreur

sur Bertrand Cantat, l'as de l'auto-apitoiement, décrit les souffrances qu'il a subies ces dix dernières années !


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Constant danslayreur 24 octobre 2013 13:55

J’aime beaucoup l’histoire de la tentative de suicide, ratée bien sûr, fort heureusement n’est-ce pas.

« Après avoir accompagné Marie à l’hôpital, »
Oh comme c’est gentil... Cela dit j’aurais écrit « après avoir expédié Marie à St Pierre, non pas l’hôpital non, l’autre » mais bon je ne suis pas spécialiste

"j’ai été viré et je suis revenu à l’appartement.« 
Qwa, ils ont osé le ... virer, je n’en viriens pas et puis qui a osé au juste, l’infirmière, des parents, le patron de son usine à décibels et surtout à maux  ?

 »Pour me flinguer.« 

 »Ni virgule pour faire le lien avec revenu à l’appartement par exemple, ni plus de précisions après, la phrase c’était point Pour me flinguer point, comprenne qui pourra, d’autant que flingue la racine ne s’avérera pas du tout être une arme à feu

"J’ai préparé mon suicide : en faisant couler un bain,« 

 smiley Tant qu’à faire oui, il vaut mieux mourir propre

 »en y préparant des lames de rasoir pour m’y trancher les veines« 

Ben quoi, évidemment qu’il en faut plusieurs des lames, imaginez que la première s’avère non coupante voire corrodée hein, voudriez tout de même pas qu’il attrape des cochonneries non plus non 

 »et en prenant des médicaments pour m’abrutir.« 

Dépense parfaitement inutile dont il aurait pu faire l’économie

 »J’en ai trop pris et je me suis effondré.« 

Je traduis : j’en ai pris assez pour m’assommer avant de devoir commettre l’irréparable mais aussi pas trop histoire de ne pas y passer non plus en plus je vous voir venir, non je ne risquais pas de dormir au point de glisser et mourir noyé, et de d’un j’y ai jamais mis les pieds dans la baignoire et de deux, j’ai appelé un tas de gens juste avant moi on ne sait jamais. 

 »Cantat parle"
C’est avant de cogner sur une femme - sa femme - qu’il fallait le faire, maintenant c’est un poil trop tard.


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