Si j’ai bien compris SR :
1) ces aides ne seraient immédiatement remboursables que si l’entreprise délocalise ou licencie alors qu’elle fait des bénéfices et elles seraient destinées en priorité aux PME. On a trop pour le moment fait des cadeaux aux très grandes entreprises, qui n’ont pas de problèmes insumontables de financement, même s’il faut leur ménager de bonnes conditions d’accueil, sans assez se préoccuper des TPE et PME qui créeent plus d’emplois que les grandes (c’est un fait). Ces aides aux très grandes sont souvent perdues, car elles n’empêchent pas les effets d’aubaine temporaires pour les grandes entreprises qui délocalisent au moindre retour moyen sur investissement. Cette concurrence sauvage permanente vis-à-vis des aides publiques entre les pays, les régions et les communes est profondément contre productive en terme de réduction du chômage et de la pércarité. Il faut donc établir des contrats clairs a donnant/donnant avec les entreprises, comme le propose SR
2)rien ne permet d’affirmer que ces aides entreraient dans la comptabilité en tant que dette à court terme ; les délais raisonnables sous conditions de création d’emplois seraient négociés. Il faudrait, comme en Allemagne, trouver des aides banquaires semi-publiques stables et durables (étendre par exemple le système CODEVI ou s’inspirer par exemple du modèle déjà ancien du crédit agricole).
Rétablir la confiance et les sytèmes de régulation qui la rende possible est indispensable.