la critique des secteurs publics et para public est d’abord d’origine syndicale.
Plus 10 a 15 point de pib en trente ans ?
Plus 2 a 3 millions d’agents ou de finances hors tout sur la même période ?
Des salaires et retraites qui sont devenu la principale source de l’augmentation de la dette.http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/jaunes/Jaune2012_pensions.pd f
57% de la richesse produite qui passe entre les mains de l’État en dépenses ou transferts sociaux.
Pourquoi pas.
Le problème c’est, en avons nous pour notre argent ?
Tous les syndicats unanimes, font le même constat : une baisse régulière, durable et profonde de la qualité des services publics, une hausse de la pauvreté et des inégalités.
Ils sont insoupçonnables. Ils sont de gauche et peuples de fonctionnaires.
Et si on doute de leur objectivité, on peut se référer a des sources étrangères.
PISA, effondrement dans les classement avec un doublement en euro constant des moyens par élèves.
C’est le seul secteur dans le pays ou avec une hausse très massive de la main d’œuvre et au plus haut niveau ( l’essentiel de la croissance de postes de cadres, diplômés, concours etc...)
Des moyens qui ont exploses ( une part croissante d’un PIB croissant), des financements autres pas chers et en hausse ( l’endettement public se fait quasiment a intérêts négatifs)
on parvient a une dégradation continue des résultats. A une productivité négative.
Dans l’industrie, on produit plus avec un million de travailleurs en moins par exemple et n’était la politique sociale et fiscale qui plombe le travail, on produirait peut être beaucoup plus avec autant ou plus de monde...
La question n’est pas d’aimer ou non les fonctionnaires,mais comment faire pour que leur productivité très négative cesse de peser sur le reste du pays.
Cela passe par une reforme de l’État.
Il n’y a pas grand monde qui aime être reforme. Et on le comprend.
Sarko a tente de les associer. On prend en compte leurs intérêts, on partage les économies, on garde les inutiles jusqu’au bout en sacrifiant les jeunes etc.... Ils n’ont, collectivement, pas voulu. On se demande si la prochaine fois il ne sera pas nécessaire de les reformer même si ils ne sont pas d’accord....