La réponse aux attentes commence par un marché libre !
L’
économie
de marché est
un système qui régule les prix dans la paix. C’est le vendeur et
l’acheteur qui se mettent en accord volontairement sur les prix sans
contrainte coercitive. L’acheteur n’a pas d’obligation d’acheter, et
bénéficie du choix. La concurrence oblige le vendeur à innover et
produire moins cher pour être au plus près et satisfaire la demande et les attentes. C’est le système le plus performant et le seul connu à respecter les libertés et la diversité des individus.
L’interventionnisme de l’état est une plaie comme la peste !
L’interventionnisme de l’état est une maladie qui crée une demande incessante et croissante, qui se nourrit d’elle même, alimenté par des groupes d’intérêts et de pression toujours plus nombreux. Chaque intervention par une règle, une loi, déforme le marché libre, au profit de groupes de pression. A chaque revendication acceptée par l’état coercitif, de nouveaux groupes se créent.
Chaque intervention crée un dommage dans le marché libre, entrave la concurrence juste, permet des monopoles protégés de la concurrence, des taxes, des règlements, des contraintes, idéologiques ou intéressées.
Hélas quelque soit le parti que nous avons eu au pouvoir, tous on œuvré contre le marché libre par l’interventionnisme.
Non nous n’avons eu que des partis politiques socialistes ou pseudo socialiste (de droite). Tous sont des étatistes, tous sont interventionnistes.
Le
socialisme c’est du « clientélisme ». En intervenant par
la contrainte étatique sur l’économie de marché le socialisme
prétend agir pour « l’intérêt général ». En
réalité le socialisme intervient que pour le compte de la demande
de groupe de pression qu’il a créé lui même.
L’interventionnisme
crée des monopoles dans le marché. Les obligés de l’état, groupe
de pression le plus. Le chômage de masse se nourrit de l’absence de débouchés
privés et de l’absence de concurrence.