Dugue, je vous cite
« Or, quand vous dites un climat qui se détériore, c’est qu’il existe un climat sain. Il n’y a pas de climat bon ou mauvais, ni de climat réglé »
J’en reste sans voix !
Vous produisez beaucoup de fumée pour pas grand chose !
Je ne sais pas ce que vous racontez dans vos cafés philo, mais voilà à la fois l’exemple d’un sophisme et d’une manipulation.
Auriez vous le culot de répéter cette ineptie dans une de ces villes chinoises empestées par la fumée et le souffre ? Car même la bas, voyez, les gens commencent à oublier ce putain de marché, et à manifester, exigeant des mesures pour survivre.
Le bon et le mauvais dans cette affaire ne sont pas des valeurs morales, ni des point de vue, juste des constatation de la dégradation de l’ecosystème lié à l’activité de l’homme.
En quelque sorte nous ne parlons pas d’esthétisme, ni de gout, mais de survie de l’espèce, et autant d’ailleurs des autres. Car bientot la philosophie à la petite semaine ne sera même plus possible, faute de participants vivants !
La montée abyssale des températures est liée au climat. En un peu plus d’un siècle, nous avons transformé la terre en cauchemar.
Et encore, les puits de carbone prodigieux contenus dans les océans, et qui risquent de se libérer, en cas de continuation de l’élévation des températures, sont une épée de Damoclés sur nos têtes.
Bon, certains préfèrent regarder les lustres vénitiens, suspendus au plafond des salons mondains, et se rassurer.
La négation et le déni sont de pauvres moyens de défense !