Assad et Kahdafi, deux noms qui riment avec dictateurs sanguinaires, il est évident que ces deux dictateurs détraqués ont plongé leurs pays respectifs dans le chaos, une chape de plomb s’est abattue en Libye et s’abat encore aujourd’hui en Syrie.
Il est clair qu’il est du devoir des États
occidentaux de s’ingérer en Syrie afin de libérer le pays d’une des
plus féroces dictatures nationaliste arabe. La flemme de la liberté est
apparue en 2011 de la part du peuple syrien qui réclame la liberté et la
fin de la dictature.
Les sbires d’Assad sont composé des forces spéciales de répression dirigée par Maher el Assad, mais aussi de l’armée régulière en pleine décomposition qui déserte les rangs chaque jour, les commissaires politiques syriens essaient de reprendre le dessus en purgeant l’armée, les shahibas sèment la terreur dans les rangs de la population syrienne. L’axe du mal en Syrie est composé du Hezbollah qui massacre allègrement la population syrienne, surtout les sunnites, un véritable crime contre l’humanité, nous avons enfin la présence d’escadrons de la mort iranienne.
Il
faut dans un premier temps bombarder les infrastructures militaires
syriennes, les bureaux du parti Baas, les quartiers généraux, les
hangars où sont stationnées
l’aviation syrienne et la DCA syrienne par des frappes de missile de
croisière, poursuivre ensuite avec l’aviation qui larguera des bombes
contre les troupes syriennes ou qu’ils soient et terminer par une offensive militaire terrestre jusqu’à Damas, le cœur du pouvoir syrien.