@ l’auteur , j’ai rien contre votre idée que par les points communs les êtres humains peuvent s’entendre.
Mais, il faut aussi resté réaliste, les subtilités adaptatives que des groupes humains ont développer aux cours des millénaires ne devraient pas pour autant être gommer sous prétexte que nous avons tous la même physiologie morphologique, de supposer que nous avons le même ressenties, et que tous au final auront la même conception du monde.
Rien de plus faux de pas tenir compte des différents paramètres subtiles qui différencies les êtres humains , et ce n’est pas forcement due aux racismes grégaires de certains si une population migratoire a due mal à s’adapter dans un pays d’accueillies..
Vous savez très bien du fait que vous êtes à cheval sur deux cultures tous la difficulté et le fossé que présenté le métissage . vous savez aussi toute la difficulté à s’adapter à un pays qui n’a pas les mêmes organisations de sa société, et vous savez très bien aussi qui peut aussi se poser des problème physiologique et psychique de ses transhumances de population humaine qui se sont arracher par la contrainte de leurs pays.
Je vous conseille de lire Tristes Tropiques de Claude Levis Strauss pour comprendre mieux que l’on peut pas appeler sans risque à un grand mélange par l’uniformité des différentes populations, sans tenir comptes qu’il y a des subtilités physiologiques humaines, des différences de sensibilités d’âmes , et que au niveaux des conceptions du monde, il y a des très différentiations qui ne peut pas être niées et si l’on veux pas en en tenir compte.
Votre idéal de trouver des points communs ne peut être vouer à l’échec.
Car avant même de pensé à vivre en harmonie avec les autres, il faut comprendre sur quoi repose le ressentiment qui est à l’origine de tant d’impossibilité de véritablement à se rencontré âme à âme.
A moins de niée qu’il y a pas de différence, il y a pas de raison culturel,et qu’il y a pas de raison sociologique. On va se retrouver au même point que les États Unis qui par idéologie véhicule l’idée d’"une civilisation multiraciale et nié en bloque cette monté communautaire qui s’affronte de plus en plus violemment sous la forme de gangs et qui est en passe de tous gangrener la société Américaine.