Oui Ariane !
Avant tout, dépassons la tarte à la crème usée, éculée et rabattue du racisme
qui est le pain béni des missi dominici de la bienpensante, experts d’une indignation
à structuration mentale variable…
La comparaison, à deux reprises, de notre « ministre »
de la « justice » avec une guenon est-elle vraiment plus grave que
les constantes émanations émanant des chaumières françaises (crouilles », « bicots », « bougnoules », « youpins », et plus récemment « sous-chiens »
(pour désigner les français autochtones), etc.
Phénomènes soigneusement entretenus pour alimenter les discours des professeurs
de vertu et des donneurs de leçons de morale, encartés dans la dictature
intellectuelle étant le lisier de la politique intérieure française…
Mais bon !
Vous avez très pertinemment soulevé l’« ignorance » de notre « ministre » de la
« justice » en regard de la très récente « évolution »
de la loi pénale grecque punissant de prison l’atteinte à l’intégrité de l’union
européenne.
Mais cette ignorance est-elle fortuite ?
Et si, pour répondre à cette question, nous allions un peu plus loin que le
syndrome de la guenon ?
Rappelons tout d’abord que nous sommes dans une NATION UNE ET INDIVISIBLE.
Donc, avant de reprocher à notre « ministre »
de la « justice » son indifférence vis-à-vis de la sanction d’une
atteinte à l’intégrité de l’union européenne, qu’en est-il de son insupportable nuisance
envers l’intégrité de notre NATION
UNE ET INDIVISIBLE, alors même qu’elle est ministre d’État, garde des sceaux ?
En effet, qui peut ignorer qu’elle est militante de l’indépendance de la Guyane
et de la Guadeloupe ?
En conséquence, quelle est la profération
la plus grave : celle soulevant une ressemblance avec une guenon ou
celle dénonçant la pratique ouverte et permanente d’une incontestable ignominie
mentale ?