Du grand n’importe nawak ce texte...
« Effectivement, on pourrait se désoler de cette indépassable dualité gauche/droite et déplorer que le projet politique ne parvienne à se projeter que sur une seule dimension. »
Ca veut dire quoi cette phrase creuse ?
La droite c’est historiquement le camp des possédants. Et la gauche le camp des dépossédés. Ou, selon Bourdieu,la droite on la reconnaît à ce qu’elle prône l’ordre.
Quand Royal clame partout « l’ordre juste », cela montre simplement que le PS est depuis longtemps infiltré par des gens de droite. Fabius, DSK, Hollande sont des gens de droite.
Quant à Bayrou, il n’y a même pas à faire l’analyse. Bayrou n’est pas le centre ! Bayrou c’est l’UDF, c’est à dire Barre ou Giscard jadis. Les candidats de droite qui se sont faits battre par la gauche en 1981.
Plus que jamais l’opposition droite-gauche est d’actualité. Il faut juste s’être rendu compte que le curseur s’est déplacé vers la droite. Ce que l’on appelle l’extrême gauche n’est rien d’autre que la gauche classique.
La droitisation de certains, cette droite plus dure que jamais qui veut avec véhémence maintenir l’ordre actuel qui leur est favorable, est un signe de peur. Peur que le contrôle echappe aux dominants. Peur de perdre leurs acquis, leurs privilèges. Ce durcissement, ce crispement de tout régime en place n’est souvent que le signe avant coureur d’une révolte ou révolution. Un vieux monde qui s’accroche et qui a peur : des jeunes, des pauvres, des autres.
Que l’on commence à aiguiser les guillotines, ça va tomber
PS : si c’est pour écrire du rien, arrêtez d’écrire