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Commentaire de parti democratique ahwazi

sur Al-Jazira : la tentation populiste et démagogique


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parti democratique ahwazi (---.---.249.227) 23 février 2007 23:23

L’attaque-surprise contre l’Iran est devenu un des grands sujets de tout bloc-notes qui se respecte. Nous avons donc régulièrement dees annonces et des effets d’annonce. Cette fois (aujourd’hui), il s’agit du Guardian . Bien que farci de prévisions et de détails sur les forces déployées et ainsi de suite, bien que présentant l’option de l’attaque comme très probable, l’article est très largement circonspect pour une attaque dans les semaines qui viennent malgré le titre accrocheur à cet égard (« Target Iran : US able to strike in the spring »). En fait, il semble qu’il faille attendre plutôt 2008. Dont acte en attendant la prédiction suivante. « The present military build-up in the Gulf would allow the US to mount an attack by the spring. But the sources said that if there was an attack, it was more likely next year, just before Mr Bush leaves office.  »Neo-conservatives, particularly at the Washington-based American Enterprise Institute, are urging Mr Bush to open a new front against Iran. So too is the vice-president, Dick Cheney. The state department and the Pentagon are opposed, as are Democratic congressmen and the overwhelming majority of Republicans. The sources said Mr Bush had not yet made a decision. The Bush administration insists the military build-up is not offensive but aimed at containing Iran and forcing it to make diplomatic concessions. The aim is to persuade Tehran to curb its suspect nuclear weapons programme and abandon ambitions for regional expansion.  »Robert Gates, the new US defence secretary, said yesterday : “I don’t know how many times the president, secretary [of state Condoleezza] Rice and I have had to repeat that we have no intention of attacking Iran.”  »But Vincent Cannistraro, a Washington-based intelligence analyst, shared the sources’ assessment that Pentagon planning was well under way. “Planning is going on, in spite of public disavowals by Gates. Targets have been selected. For a bombing campaign against nuclear sites, it is quite advanced. The military assets to carry this out are being put in place.”  »He added : “We are planning for war. It is incredibly dangerous.” Mr Cannistraro, who worked for the CIA and the National Security Council, stressed that no decision had been made

posted by ahwazion @ 2:57 م

الاثنين, فبراير 05, 2007

La présidence de l’UE condamne l’exécution en Iran de quatre hommes

jeudi, 01 février 2007 Agence France Presse - La présidence de l’Union européenne, assumée par l’Allemagne, a condamné jeudi dans un communiqué la pendaison le 24 janvier en Iran de quatre hommes, pour leur implication présumée dans des attentats commis en janvier 2006 dans la ville pétrolière d’Ahwaz (sud-ouest). « L’UE a fait part aux autorités iraniennes de ses préoccupations quant à la conduite du procès à l’issue duquel ces condamnations ont été prononcées et au fait que les accusés n’ont pas eu accès à un avocat », selon ce communiqué. La présidence de l’Union « demande à l’Iran de surseoir à l’exécution des trois autres accusés, de leur accorder un procès équitable et public, et d’assurer l’ouverture et la transparence complète de l’ensemble de la procédure judiciaire », a -t-elle ajouté. L’Union « est depuis longtemps opposée à la peine de mort en toutes circonstances », selon le communiqué. La présidence a précisé que la Turquie, la Croatie et l’ancienne République yougoslave de Macédoine, l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, la Serbie, l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège ainsi que l’Ukraine et la République de Moldavie « se ralliaient à la présente déclaration. »

posted by ahwazion @ 1:42 م

الجمعة, فبراير 02, 2007 parti democratique ahwazi

QUESTION ÉCRITE P-0312/07 posée par Paulo Casaca (PSE) à la Commission

Objet : Nouvelles condamnations à mort prononcées dans la région du Ahwaz

D’après le journaliste Samir le régime iranien a prononcé une nouvelle série de condamnations à la peine capitale contre des activistes arabes iraniens, alors même que les condamnations qui avaient été prononcées antérieurement n’ont pas encore été toutes mises à exécution (voir à ce sujet la résolution du Parlement européen P6_TA(2006)0503 du 16 novembre 2006).

De l’avis du Parlement européen, d’Amnesty International et d’organisations ahwazies, les procès n’ont pas satisfait aux exigences minimales de justice et d’impartialité.

Selon des informations communiquées par des organisations ahwazies à l’auteur de la présente question, la Commission affirme qu’elle suit « de très près » cette affaire et que les personnes en cause « ont été condamnées en relation avec leur participation à des attentats à la bombe dans la ville d’Ahwaz en octobre 2005 ».

La Commission peut-elle expliquer comment une personne aurait pu commettre un attentat à la bombe en octobre 2005 alors qu’elle est incarcérée dans les geôles iraniennes depuis au moins 2002 ?

Peut-elle expliquer comment elle a garanti les droits à la défense d’une des victimes de ce procès, qui a la citoyenneté européenne ? Peut-elle indiquer de quels attentats à la bombe il s’agit exactement, étant donné que plusieurs victimes n’ont

posted by ahwazion @ 2:16 م

الثلاثاء, يناير 30, 2007 partie democratique ahwazi

Quatre hommes ont été pendus Quatre homes ont été pendus publiquement pour avoir pris part à des bombardements meurtriers dans la ville d’Ahwaz, dans le sud ouest du pays, en 2005. Ces attaques avaient tué six personnes et en avaient blessé des centaines. Les quatre hommes étaient membres de la minorité arabe iranienne. Selon certaines sources, ils n’auraient pas eu accès à leurs avocats durant les deux semaines qui ont précédé l’exécution, tandis que les procès se sont déroulés sans eux. En octobre 2006, les avocats avaient été accusés de mettre en danger la sécurité nationale par la Cour révolutionnaire. Ils avaient osé rendre leurs critiques publiques sur des sites Internet étrangers mis en ligne par des habitants d’Ahwaz. Le 10 janvier 2007, trois experts des droits de l’Homme de l’ONU ont appelé l’Iran à interrompre les exécutions de sept hommes appartenant à la minorité arabe ahwazie, et à leur offrir un procès équitable.

posted by ahwazion @ 7:34 ص

الجمعة, يناير 26, 2007 partie democratique ahwazi

Reuters -10 janvier 2007 - Affirmant qu’ils n’ont pas bénéficié d’un procès équitable, trois rapporteurs spéciaux des Nations unies ont demandé mercredi à l’Iran de ne pas exécuter sept hommes reconnus coupables de tentative de renversement du gouvernement.

Ces hommes, membres de la minorité arabe Ahwazi, font partie d’un groupe de 10 personnes condamnées à mort pour complot en vue de déstabiliser le pays, de saboter des installations pétrolières et de renverser le gouvernement. Les trois autres condamnés ont été exécutés en décembre. « L’Iran doit arrêter les exécutions d’Arabes Ahwazi condamnés à mort à l’issue d’un procès secret, totalement inique », dit la déclaration des trois rapporteurs. Philip Alston, rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, Leandro Despouy, rapporteur spécial sur l’indépendance des juges et des avocats, et Manfred Nowak, rapporteur spécial sur la torture, ont dit avoir écrit aux autorités iraniennes mais n’avoir reçu aucune réponse. Ils ont expliqué que les condamnés, qui faisaient partie d’un groupe plus important arrêté en juin 2006, accusé d’avoir reçu en Irak une formation assurée par des agents américains, britanniques et israéliens, n’avaient pas eu accès à un avocat avant leur procès dans la province occidentale du Khouzestan. Leurs avocats, « intimidés » par le risque de voir porter contre eux les accusations de « menace à la sûreté nationale », n’ont obtenu des précisions sur le dossier que quelques heures avant le début du procès, dit un communiqué de Nowak. « Le seul élément concernant les procès de ces hommes qui ne soit pas entouré de secret est la diffusion par la télévision publique de leurs prétendues confessions », ajoute Nowak en indiquant que ces aveux auraient été extorqués sous la torture. Les rapporteurs disent avoir conscience que les sept hommes sont accusés de crimes graves. « Cependant, ceci ne peut justifier leur condamnation et leur exécution au terme de procès qui sont une parodie des procédures requise », concluent-ils. Labels : politique

posted by ahwazion @ 6:43 ص

السبت, يناير 13, 2007 partie democratique ahwazi

Ne plus agir après le : 2 février 2007 IranIRAN Abdullah Suleymani (h), 27 ans

Action complémentaire sur l’AU 301/06 (MDE 13/126/2006 du 13 novembre 2006) et sa mise à jour (MDE 13/123/2006 du 7 décembre 2006) Craintes d’exécutions imminentes IRAN Abdullah Suleymani (h), 27 ans Abdulreza Sanawati Zergani (h) Qasem Salamat (h), 43 ansMohammad Jaab Pour (h)Abdulamir Farjallah Jaab (h) Alireza Asakreh (h)Majed Alboghubaish (h) Khalaf Derhab Khudayrawi (h) Malek Banitamim (h), 30 ansAbdul Husain Haribi (h)Husain Maramazi (h)Husain Asakreh (h)22 décembre 2006Selon les informations recueillies, Alireza Asakreh, Malek Banitamim et Ali Matouri Zadeh ont été exécutés le 19 décembre dans la prison de Sepidar (province du Khuzestan). Les dix autres hommes nommés ci-dessus restent gravement exposés au risque d’une exécution imminente.Les corps des suppliciés n’auraient pas été rendus aux familles, et l’on peut craindre qu’ils ne soient enterrés à La’natabad - le « lieu des damnés » -, une fosse commune anonyme. Selon certaines sources, les forces de sécurité empêchent toute visite de condoléances aux familles.Le 13 novembre, une chaîne de télévision iranienne régionale, Khuzestan TV, a diffusé un documentaire dans lequel neuf de ces hommes faisaient des « aveux » aux côtés d’un dixième homme, Ali Motairi Nejad. Amnesty International pense que ce dernier est en réalité Ali Matouri Zadeh, qui a été arrêté en même temps que son épouse, enceinte, le 28 février 2006 (voir l’AU 107/06, MDE 13/042/2006 du 28 avril 2006 et suivante). Ces hommes ont été condamnés à la peine capitale après avoir été reconnus coupables d’implication dans des attentats à la bombe commis dans des grandes villes de la province du Khuzestan en 2005. Au cours de l’émission, les dix hommes, présentés comme des membres d’Al-e Naser (un groupe de militants arabes iraniens peu connu qui, à la connaissance d’Amnesty International, n’est plus en activité depuis la période de la guerre Iran-Irak, dans les années 1980), ont « avoué » leur implication dans les attentats. INFORMATIONS GÉNÉRALES La communauté arabe d’Iran vit essentiellement dans la province du Khuzestan, une région frontalière de l’Irak, importante sur le plan stratégique en raison des nombreuses réserves de pétrole qui s’y trouvent. Elle estime qu’elle n’a pas bénéficié des revenus pétroliers dans la même proportion que la population persane. Depuis toujours, elle est marginalisée et fait l’objet de discriminations. En avril 2005, la communauté arabe d’Iran est descendue en masse dans les rues d’Ahvaz à la suite de rumeurs selon lesquelles le gouvernement envisageait de disperser ses membres dans le pays ou de les contraindre à renoncer à leur identité arabe. Des centaines de personnes ont été arrêtées et certaines auraient été torturées. À la suite d’attentats à l’explosif qui ont fait au moins 14 morts en juin et en octobre 2005 dans la ville d’Ahvaz, et d’explosions en septembre et en octobre sur des sites d’installations pétrolières, les violences se sont encore intensifiées et des centaines de personnes auraient été appréhendées. D’autres attentats à l’explosif, qui ont fait au moins six morts, ont eu lieu le 24 janvier 2006. Ils ont été suivis d’une nouvelle vague d’arrestations. Deux hommes, Mehdi Nawaseri et Ali Awdeh Afrawi, ont été exécutés en public le 2 mars 2006 après avoir été reconnus coupables d’implication dans les attentats du mois d’octobre. Ils ont été condamnés à l’issue d’un procès inéquitable devant un tribunal révolutionnaire, sans avoir été autorisés, semble-t-il, à consulter un avocat, et leurs « aveux », de même que les déclarations de sept autres hommes, ont été diffusés à la télévision. Amnesty International reconnaît que les États ont le droit et le devoir de traduire en justice les personnes soupçonnées d’infractions pénales, mais elle est catégoriquement opposée à la peine capitale, qui constitue une violation du droit à la vie. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le document d’Amnesty International intitulé Cas d’appel - Peine de mort. Onze membres de la minorité arabe d’Iran condamnés à mort (MDE 13/051/2006, mai 2006).L’Iran a déjà diffusé des « aveux » filmés à la télévision. Certaines des personnes apparaissant sur ce type de vidéos ont par la suite déclaré que leurs « aveux » succédaient à des mauvais traitements, voire des actes de torture.L’article 14.3.g du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), auquel l’Iran est partie, prévoit le droit de toute personne de ne pas être forcée de témoigner contre elle-même ou de s’avouer coupable. Par ailleurs, en vertu du principe 21 de l’Ensemble de principes pour la protection de toutes les personnes soumises à une forme quelconque de détention ou d’emprisonnement, il est interdit d’abuser de la situation d’une personne détenue ou emprisonnée pour la contraindre à avouer ou à s’incriminer de quelque autre façon. ACTION RECOMMANDÉE : dans les appels que vous ferez parvenir le plus vite possible aux destinataires mentionnés ci-après (en anglais, en arabe, en persan ou dans votre propre langue) :- déclarez-vous vivement préoccupé à l’idée qu’Abdullah Suleymani, Abdulreza Sanawati Zergani, Qasem Salamat, Mohammad Jaab Pour, Abdulamir Farjallah Jaab, Majed Alboghubaish, Khalaf Derhab Khudayrawi, Abdul Husain Haribi, Husain Maramazi et Husain Asakreh ne soient exécutés très prochainement ; priez les autorités iraniennes de commuer sans délai leur condamnation à mort ; dites-vous inquiet à l’idée que le procès de ces hommes n’ait pas été conforme aux normes d’équité et cherchez à obtenir des informations sur la procédure ils ont fait l’objet ; demandez en particulier s’ils ont été autorisés à consulter un avocat indépendant et à le choisir eux-mêmes, et, dans le cas où ils ont effectivement été déclarés coupables et condamnés à mort, s’ils ont pu faire appel de la déclaration de culpabilité et de la peine, comme le prévoit l’article 14-5 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) ; déclarez-vous préoccupé à l’idée que ces hommes n’aient été forcés à témoigner contre eux-mêmes ou à « avouer » leur culpabilité lors d’interrogatoires non conformes à certaines garanties en matière de droits humains, telles que le droit de bénéficier des services d’un avocat ; dites que vous reconnaissez que les États ont le devoir de traduire en justice les personnes soupçonnées d’infractions pénales, mais soulignez votre opposition catégorique à la peine capitale, qui est le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit, et qui constitue une violation du droit à la vie.

posted by ahwazion @ 1:55 م parti democratique ahwazi(arabistan) [email protected]

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