@ différents contributeurs
Ce qui différencie la lignée OGM testée dans les travaux de Caen, c’est qu’il sagit d’une lignée transgénique alors que celles que nous consommons de puis 70 ans sont issus de mutagenèse. C’est aussi que la lignée testée est tolérante à un herbicide et celle que nous consommons ont été améliorés pour d ’autres caractères. @martha, dans les deux cas néanmoins, il y a des étapes de criblage pour obtenir les lignées finales. Ces étapes sont la bases du travail des améliiorateurs.
Oui, nous travaillons en fonction de l’état de nos connaissances. Cela peut vous déplaire mais c’est comme cela. Si vous avvez d’ailleurs une meilleure idée, tout le monde sera preneur ! En l’état de nos connaissance, nous définissons des niveaux de risques : très faible, faible, moyen élevé, etc. et évaluons les conséquences des niveaux de risques. Si le risque est très faible mais les conséquences de sa réalisation fortes, on se trouve pas dans la même situation qu’un risque élevé avec des conséquences nulles... Ce produit de la probabilité de réalisation d’un risque par ses conséquences est analogue à la notion statistique qu’est l’espérance.
Le lien avec le sang contaminé est intéressant. Avant que le virus de SIDA ou des hépatites C, D, E ne soient connus, les contaminations peuvent s’apparenter à des « accidents » peu prévisibles. Il n’ya a pour cette époque pas grand chose à repprocher au « système ». Là où cela a déraillé c’est lorsque le risque a été connu et le lien fait entre contamination et usage du sang non traité. Ce sont des motivation financières qui ont conduit à cette situation alors même que les sceintifiques de tout bord passaient leur temps à tier les signaux d’alarme. Dans le cas des OGM, il n’y a pas de publication scientifiques solides qui fassent ressortir un risque faible ou élevé et des conséquences grave. Il est vrai que les études sotn encore fragmentaires. Et comme je le disais plus tôt, le ministère pousse pour des études de long terme qui sont indispensables pour statuer.