article pédago bobinant qui n’a pas pris la peine de lire les enquêtes PISA depuis 2003…
Il se trouve un peu plus haut sur Agora vox
un article qui fait l’effort de faire ce constat…
Où l’on voit que la politique du socle (avec ses avatars de suppressions des notes, d’’évaluation par compétence et de « valorisation » de l’élève) n’est que poudre aux yeux qui n’a à dessein fait qu’enfoncer les gosses de la classe populaire « dans leur merde », pendant que les gosses de riches trustent les bons établissements publics ou privés, remplissent les classes « européennes »….
Rappelons nous de Gaspard Monge qui créa l’ENS, rappelons nous de cette exigence de méritocratie républicaine qui assigna à l’école la mission d’attribuer à chacun une place en fonction de son mérite et non de sa naissance… certes cet idéal ne fut jamais atteint, pour autant il est triste de constater que chaque année, les politiques dictées par la commission européennes nous en éloignent de plus en plus.
Alors pendant que les pédalo-bobos divertissent le badaud avec des discussions dénués de sens sur l’enseignement (Particulièrement en sur les maths enseignement pour lequel la France faisait figure de référence incontestable), l’Ecole de la République se meurt assassinée par la culture de l’évaluation, de la certification et de la compétence néolibérale…
Il n’est que de voir le coup porté aux CPGE par Peillon, car rappelons que quand bien même l’ascenseur social s’est grippé, le peu de gosses de prolo qui peuvent rentrer dans les hautes sphères le peuvent car le concours de les concours aux grandes écoles sont anonymes et que les classes prépa continuent bon an mal ans d’accueillir quelques gamins de la france d’en bas…
L’élève au centre c’est la mort de la méritocratie républicaine, c’est le règne du paraitre des forces de l’argent...