Bonjour Claude,
’’ Pourquoi avons-nous besoin de sortir d’une monnaie forte ? ’’
Oui, l’Euro est présenté comme une monnaie forte par les grands médias, si forte quelle à accentué la crise des pays sud européens et quelle nous à plongé dans la servitudes des marchés financiers !
Il y à 25,98% des chômeurs en Espagne selon l’Institut national de la statistique !
Sur un an, le chômage en Grèce s’établit désormais à 27,9 %, contre 24,6 % à la même période l’année dernière, selon les chiffres publiés jeudi 12 septembre 2013 par le service des statistiques grecques, Elstat. source
L’Euro n’est pas contrôlé par les 28 états Européens mais par les banques privées ... en tête de liste Goldman & Sachs !
Vous trouverais dans les institutions Européennes leur représentants comme par exemple
Charles DECROISSET
Mario MONTI
Mario DRAGHI
Romano Prodi
Otmar ISSING
Antonio BORGES
Lord GRIFFINS
Peter SUTHERLAND
pour en citer seulement une partie des gens en relation avec Goldman & Sachs. Ses gens la passent par des portes tournantes !
La zone euro, est un espace à monnaie unique « entre des pays en
guerre économique » entre eux, qui n’ont pas de politique économique
commune, ni d’harmonisation fiscale, sociale, réglementaire.
Par ailleurs, la Commission européenne, avec l’appui de l’Allemagne et
de la France, met progressivement en place une politique de réformes
structurelles libérales au prétexte de réduire les déficits
budgétaires : ouverture des frontières, libéralisation des services et
du commerce, augmentation des impôts, démantèlement des services publics suit donc et donc une
réduction des salaires (et « flexi-sécurité »…), réduction des dépenses sociales
(allocations chômage, retraites…). Cette politique est une politique budgétaire, et pas une politique
économique. Elle aggrave la situation en ralentissant la croissance et
en faisant baisser le produit intérieur brut (PIB)… ce qui alourdit le
déficit (au lieu de le réduire), donc la dette.
Remplissant deux chariots « de la ménagère », l’un tel qu’il aurait été
avant l’entrée en vigueur de l’euro il y a dix ans et l’autre après,
M. Dupont-Aignan a démontré que « le passage du franc à l’euro [avait]
facilité une hausse des prix scandaleuse » des produits de consommation
courante : « + 87 % pour un kilo de pommes de terre, + 116 % pour les
sacs poubelle », a-t-il donné en exemple, chiffes de l’Insee à l’appui.
« En dix ans », votre chariot « a fondu de plus de la moitié. Elle est
là, l’arnaque de l’euro », a-t-il lancé à la presse et aux quelques
clients du supermarché.
source
En France, une réforme de la Banque de France, votée en 1973 sous l’impulsion de Valéry Giscard d’Estaing, ministre des finances de Georges Pompidou, interdit au Trésor public d’emprunter directement à la Banque de France à des taux d’intérêt nuls ou très faibles. La Banque de France ne peut donc plus financer par de la création monétaire les déficits publics. Le gouvernement français est dès lors obligé de faire appel aux marchés financiers, c’est-à-dire à des banques privées, et ce, aux taux d’intérêt de marché. Il s’agit d’un acte fondateur, et destructeur, car il inaugure la mainmise des marchés financiers sur les États. Cette disposition allait être intégralement reprise lors de la création de la Banque centrale européenne (BCE), puis dans tous les traités européens. L’article 104 de Maastricht qui est devenu l’article 123 de Lisbonne
interdit aux états d’emprunter de l’argent à leur banques nationales et impose aux états de
chercher leur argent aux marchés financiers (les banques privées) qui prêtent de l’agent à des taux abusives.
On a donc abouti à une situation hallucinante. Les États ne peuvent pas
être financés par la BCE ; mais celle-ci peut par contre refinancer les
banques privées à de très faibles taux. Ces dernières prêtent ensuite
aux États à des taux nettement supérieurs, voire carrément usuraires.
L’Union européenne se place volontairement sous l’emprise des marchés
financiers.
Cette emprise allait être d’autant plus grande qu’une contre-révolution
fiscale s’est déployée depuis plus d’un quart de siècle. Son fil
directeur a été de baisser par de multiples moyens les impôts payés par
les ménages les plus riches et par les entreprises, en particulier les
plus grandes.
Voila l’Euro est l’outil pour appliquer cette politique financière qui engraisse les banques privées. L’Euro ne sert pas l’intérêt général bien au contraire.
L’impôt sur le revenu est devenu de moins en moins progressif avec la
diminution du nombre de tranches et les baisses successives du taux
marginal supérieur. L’impôt sur les sociétés, véritable peau de chagrin,
pèse trois fois plus lourd sur les PME que sur le CAC 40. Résultat imparable, l’État s’est appauvri : ses recettes représentaient 15,1 % du PIB en 2009 contre 22,5 % en 1982. On trouve là une des raisons de l’accroissement régulier de la dette publique avant même la crise financière.
L’Euro est un boulet pour les travailleurs mais un eldorado pour les spéculants et le monde de la finance !
Les banques centrales des autres pays ont été également forcées
d’accepter des dollars comme réserves monétaires dans des proportions
croissantes (plus de 90% dans le cas de la Banque centrale européenne).
La valeur des autres monnaies – tel l’euro – découle donc à raison de plus de 90% de billets en dollars sans valeur, ne reposant que sur la puissance et la volonté de la haute finance américaine. source
L’Euro est contrôle par Goldman & Sachs donc les américains.
Donc pour se débarrasser de la monnaie esclavagiste qui est l’Euro nous devons d’abord quitter l’UE voire dissoudre l’UE et enterrer la constitution Européenne qui à réduit la France à un serviteur obéissant des marchés financiers !
D’ailleurs il y à des pays européens qui n’ont pas adapté l’Euro et qui se portent très bien comme par exemple de la Norvège ou le Danemark ou le Taux de chômage s’enlève à 7,5 % en 2012 et à 7,1% en 2013 !!! Hors regardez ce qui ce passé en même temps avec le chômage en France !
Déduction : Les pays européen n’ayant pas adopté la monnaie unique ’’ l’Euro’’ se portent bien mieux que ceux avec l’Euro à une exception près ’’ l’Allemagne ’’.
L’Euro tue les travailleurs et fait la fortune des riches et des spéculants !