j’avais donné une piste pour une solution dans un article similaire, bien que moins renseigné.

vu que la brucellose ne représente pas de risque important, au vu des méthodes transmission et des facteurs divers comme de l’existence d’un traitement,

plutôt que de mettre du plomb dans le crâne de ces pauvres bêtes qui n’ont rien demandé, pourquoi pas leur envoyer des seringues hypodermiques bourrées d’antibiotiques dans le postérieur ?

certes ! elles les sentiront passer. mais elles se méfieront davantage de l’homme et de tout ce qui porte son odeur, comme les animaux d’élevage, ce qui réduira d’autant les risques de contagion !

l’analogie par rapport aux animaux domestiques comme les chat et les chiens est juste !
les propriétaires chercheront à soigner l’animal plutôt que de le tuer !

pourquoi d’autre bêtes innocentes devraient subir un tel sort ?

soignez les donc plutôt que de les abattre Mr le préfet ! cela coûtera sans doute plus cher, c’est vrai, mais vous ferez respecter la loi, ce qui est, faut-il le rappeler ? votre métier !

franchement Monsieur le préfet, si vous persistez à décimer une espèce protégée, plutôt que de la soigner, ce qui est illégal, autant démissionner tout de suite et laisser votre successeur prendre la relève ! dans le cas contraire, j’estime, en tant que citoyen, que vous n’accomplissez pas votre devoir et ne méritez donc pas votre poste !

et si le ministre de l’écologie cautionne un tel fait, il en est de même pour lui !

les bouquetins ne vous ont rien fait, laissez les tranquilles ou soignez les ! mais si vous les tuez, tout préfet ou ministre que vous soyez, vous ne serez rien de moins que des criminels !

merci à tout ceux qui prennent la défense de ces animaux que je n’ai pu qu’entrevoir vaguement au loin au travers de jumelles, mais qui, en tant qu’espèce protégée, méritent toute notre considération !

(en ce qui me concerne, ma vue ayant baissé depuis ma dernière rencontre avec un de ces animaux, pour la prochaine fois j’emporte un télescope ! si ça ne me permet pas d’en voir un, il me restera les étoiles.)