Les capacités cognitives (ce que l’on prend pour de l’intelligence) de l’homme sont un de ses point fort mais pas seulement : La faculté qui lui est donné de communiqué de manière complexe par la parole a été le complément indispensable à sa domination. Les poupes, qui ont quasiment les mêmes capacités cognitives ne peuvent pas évoluer à cause des difficultés de communications et aussi parce que la maman ne peut pas éduquer sa progéniture. Pareil pour Kanzi : Ce bonobo cité par l’auteur a bénéficié d’un matériel introuvable dans la nature.
à l’inverse il existe en effet des domaines où l’homme est très handicapé. Le monde des odeurs notamment lui est presque inconnu car c’est bien d’un monde qu’il s’agit. Les gens qui font travailler des chiens savent que d’évidence celui-ci prends toujours son temps car il a besoin de réfléchir et de distinguer dans toutes sortes d’informations à nous inconnues celles qui mènent au but. Par ailleurs nous n’avons pas vraiment trouvé comment font les animaux. Nous savons que le chien et d’autres mammifères ont le nez fin grâce à leur truffe et les serpents grâce à leur langue fourchue mais nous ne savons pas comment font les oiseaux qui d’évidence ont également le nez fin : Des recherches récentes ont démontré que les pigeons voyageurs retrouvaient leur chemin essentiellement à l’odeur ce qui invalide les théories précédentes à base de magnétisme et autres fantaisies. Pareil en ce qui concerne la détection des ascendances par les oiseaux voiliers. Certes ceux-ci ont aussi des ’’fesses’’ (voir plus bas) extrêmement sensibles... Mais cela ne suffit pas ! Ainsi, les cigognes en migration spiralent assez peu. Alors qu’en vol local elles spirale beaucoup et bien qu’elles choisissent des jours très favorables pour migrer on constate qu’elles préfèrent généralement cheminer au mieux, ce qu’elles font de manière extrêmement efficace et d’évidence cela ne peut se faire qu’à l’odeur, les fesses ne pouvant pas permettre d’anticiper et donc de trouver les chemins portants.
Voler aux ’’fesse’’ (note) : Expression aéronautique consistant à ressentir l’atmosphère. On peut considérer que celles des oiseaux
sont bien plus sensibles que celles des humains. Les oiseaux ont un sens de l’équilibre très poussé, ce qui leur permet de voler droit même sans visibilité (Les cigognes en migration volent souvent au travers des nuages ; Pendant la Grande Guerre, certains aviateurs audacieux ont eu l’idée d’emmener des oies en cage et comme la tête de l’oiseau indique toujours la verticale ils pouvaient ainsi entrer dans les nuages sans finir en vrille ! )