« Dogmes et autres croyances supposément établies je m’assois dessus quand je ne les sens pas ! »
L’on peut s’assoir dessus, les nier, sans toutefois les empecher d’exister !
Je m’explique : une personne qui croie quelque chose « supposément établie » et qui va l’affirmer dur comme fer, c’est en effet une connerie. Mais une personne qui vie quelque chose intérieurement et qui fait part au autres de sa joie, est-ce une connerie ? Si les autres, vous visiblement, n’êtes pas sensible au point de « sentir » ce qu’autrui ressent, autroi doit-il devenir pathétique et con car ses dires ne vous touche pas ? C’est se point qui me chiffonne dans votre argumentaire. Le jugement facile et le non respect de la pensée de l’autre. Fusse-t-elle éronnée, elle à le droit d’exister. Une personne qui se trompe est bien surement une personne qui apprend. Une personne qui ne ne plonge dans rien et qui se méfie de tout aura un très bel argumentaire, mais peu de vie dans ses paroles.
Je trouve que beaucoup de choses sont mélangé et amalgamé dans votre raisonnement. Même si le fond est juste, de là j’entend de remettre en question les choses, le propo de la vérité, la remise en question et les fait historique cachés etc... j’y voie des raccourci et des idées préconçu qui sont tout aussi dangereuse que les dogme que vous méprisez.
Pourtant il me semble que vous désirez faire « vivre » votre pensée de sorte à la faire évolué. C’est là que ma compréhension fait défaut quant à votre raisonnement. Vous prétendez utiliser une pensée que l’on pourrait appeler d’« active » avec des concept pré-conçu qui sont de ce fait « morts »
Quand à la schizophrénie ; vouloir changer le monde, vouloir une croissance absolu dans un monde fini, ne plus vouloir voir des centrale nucléaire et user au possible de l’électricité, vouloir la fin de la faim dans le monde et consommer comme un bon français, juger les gens à leurs actes et prendre des idées préconçus comme socle...
Bref, dans ce bas monde, on ne manque pas de schizophrène... la perfection n’existe pas, vous l’avez dit il me semble, la parfaite cohérence non plus. De là on peu dire qu’on est tous demeuré...
C’est une bien triste vision des choses, certain voie le verre qu’a moitié vide...
Bien cordialement