A l’auteur, certain scrutateurs de l’agora (y’a plein de vieux singes sur Agoravox) vous prenn(ai)ent assurément pour un ectoplasme télécommandé et manipulateur de plus, et dans la schizophrénie ambiante, il est effectivement toujours utile de voir ce qui suit le premier jet, et le commentaire présent rassurera les plus vigilants.
Pour lui cette veine bretteuse (en particulier donc quand il regrette que Cohen (Elie Sémoun) n’y soit pas passer lors de la WWII, c’est en tout cas ce qu’il doit lui dire dans son dialecte « bamboula ») est sa marque de fabrique, un contre-pied/charge provocateur (toujours d’actualité aujourd’hui pour lui et distillé tel quel envers Cohen (le journaliste), il y est resté fidèle, sauf à finir par répondre devant ceux qui aujourd’hui ont su comment empêcher de mettre le doigt dans le pot de confiture et qui n’a rien à voir avec quelconque juif ou autre citoyen d’ici ou d’ailleurs lambda, les sionistes étant en fait tous ceux qui s’en repaissent.
La problème c’est le pot de confiture (le pouvoir, l’idéologie...) et rien d’autre. Sachant que concernant le sionisme lui même, tout dépend si c’est celui (exemplaire) des kibboutz originels ou celui (mortifère) de Bibi and Co.).
Or ce sionisme des kibboutz, qu’en est (reste) t’il aujourd’hui ?
Bien à vous.