Félicitations à Dieudonné et à Alain Soral pour avoir résisté à cette
pieuvre qu’est le lobby sioniste en France.
Merci d’avoir permis de libérer la parole et de dénoncer cette mainmise
inacceptable sur notre pays et sur cette dictature de la pensée, qui définit ce
qui est bien et ce qui est mal.
Lors de l’émission de Frédéric Taddei, Jean Bricmont a posé au
président de la LICRA la question qui a mes yeux est la plus
importante : « pouvez vous définir ce qu’est l’antisémitisme ? »
Tollé généralisé et bien évidemment actions d’évitement pour éviter de
répondre.
Cette question méritait pourtant d’être débattue, pour clarifier ce qui
tient de l’antisémitisme et ce qui tient de la légitime dénonciation du
sionisme. Mais ce débat n’a pas eu lieu car il aurait mis à mal toute la
dialectique de chantage qui est le fond de commerce du lobby pour maintenir sa
domination sur la France et les Français.
Les Français, qui dans leur grande majorité ne sont pas racistes et
encore moins antisémites, sentaient bien, confusément, que quelque chose
n’allait pas dans cette victimisation à outrance et cette instrumentalisation
du génocide que tout être humain digne de ce nom condamne sans appel ;
mais, culpabilisés par le discours du lobby relayé par les médias aux ordres,
tenus moralement responsables de l’extermination abominable des juifs (qui ont
été majoritairement des juifs immigrés qui étaient venus se réfugier en France), ils ne
savaient ni n’osaient s’opposer à ces
discours orientés et accusateurs.
L’émission de Frédéric Taddei a montré de manière caricaturale, la dialectique
employée par le lobby et sa mainmise sur le système médiatique ; je n’en
rajouterai pas, inutile de tirer sur l’ambulance. C’est dramatique pour la
majorité des juifs de France qui n’ont rien à voir avec cette clique et qui
risquent d’être stigmatisés par les imbéciles et les vrais racistes.
Le président de la LICRA, le lobby et la grande majorité des
journalistes sont les seuls responsables de cette montée de l’intolérance que
la LICRA veut attribuer à Dieudonné, cela n’a échappé à personne.
Je finirai mon propos sur le cas de ce pauvre Valls. Il espérait faire
un coup double, se débarrasser de Dieudonné et se positionner de manière
incontournable dans le champ politique.
Je crois que c’est raté : tous les Français ont vu qui étaient ses
maîtres (quand même !) et il représente maintenant un risque pour ce
pauvre Hollande dont la perte de crédibilité atteint des abîmes
préoccupants pour l’avenir du parti
(dit) socialiste.
Merci encore Monsieur M’bala, merci monsieur Soral, merci monsieur
Bricmont, continuez votre action, nous vous soutenons.