Je n’ai pas parlé de travail au noir ni de contourner la loi. Je parle simplement de réorganiser l’économie. De donner quelques outils de plus qui permette à la fois de simplifier les taches administratives (comme le revenu de base) mais aussi de privilégier le local sur l’international.
Ce n’est pas parce qu’on paie en monnaie local qu’on ne paie plus de TVA ou ses cotisations sociales, comme cela n’enlève pas à l’entreprise le fait de réaliser des bénéfices.
Ce que je prône aussi, c’est une meilleur répartition des richesses. Mais pas seulement du simple point de vue marxiste mais aussi en tenant compte de la réalité de l’économie et donc c’est surtout d’un point de vue des entreprises entre elles.
Il ne faut pas oublier que si il y a beaucoup d’entreprises qui réussissent et certaines ont des bénéfices indécents, il y a eu l’année dernière 65 000 faillites. Et ce n’est pas simplement du aux charges car pour la majorité, elles en ont été exemptée.
Il faut aussi savoir que derrière une faillite, il y a un RSA. Et que souvent les causes de faillites sont la voracité des autres entreprises qui ne se font pas de cadeaux.