@ bonnot quand ont lit si dessus avec preuve à l’appuie, on se demande vraiment se que tu caches comme provocation en parlent de toute La haine de tous ces fachos éffarouchés ne voulant pas réfléchir ?
MDR.
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Caroline (Fourest) ange-gardienAu sein de la gauche française, FEMEN a su s’attirer des soutiens auprès des Verts, du Parti de Gauche mais aussi du PS. Il faut dire qu’en s’installant à Paris, elles ont fait de l’extrême-droite catholique un adversaire médiatique.
Pourtant, c’est sur fond d’islamophobie qu’elles ont en commun avec ces intégristes qu’elles susciteront leurs plus solides soutiens. En particulier dans la mouvance pro-américaine. Figure de ce courant, Caroline Fourest, véritable ange-gardien. Au carrefour des milieux associatifs, journalistiques et politiques, c’est un allié de poids. L’avocat des FEMEN ? c’est le même que celui de la journaliste (Patrick Klugman, figure du Parti Socialiste, membre de la revue La Règle du Jeu). Quand Inna Shevchenko obtenait en 2012 le statut de réfugié politique c’est notamment grâce à la journaliste et un de ses soutiens dans la mouvance diplomatique : Pascal Brice. Pour cet atlantiste en diable qui dirige l’organisme en charge du droit d’asile (OFPRA), celui (d’asile) offert en un temps record à l’Ukrainienne constitue "un grand de motif de fierté". C’est ce qu’il déclarait dans une émission de radio de…Caroline Fourest qui lui était consacré (France Inter, "Ils changent le monde").
Un an plus tôt, c’est un autre membre du « réseau Fourest », le très néoconservateur François Zimeray, ex-Ambassadeur des droits de l’homme, qui se montrait particulièrement bienveillant envers Shevchenko. Ce n’est pas tout, la parution d’un ouvrage d’entretien entre la militante et la journaliste est imminente. Il ne s’agit pas d’un coup d’essai. Dès 2012 France 2 diffusait un documentaire de Fourest à la gloire du mouvement. L’experte reconnue de l’extrême-droite française s’y montrait complaisante vis-à-vis de son alter ego ukrainienne…
Dans le documentaire, il est en effet question, avec empathie, d’une « réunion de l’opposition » contre les résultats d’une « élection législative jouée d’avance ». On aperçoit alors distinctivement dans la foule les drapeaux bleu et jaune du parti d’extrême-droite Svoboda. Il s’avère qu’à la tribune ce jour là se trouvait aussi le leader de l’extrême-droite ukrainienne Oleh Tyahnybok, celui-là même qui dénonçait dans les années 2000 la « racaille juive »….
Contre-champ : Oleh Tyahnybok à la tribune de la réunion de « l’opposition » )
16/02 23:05 - anar75
Arnaud69, tes commentaires me bluffent, je vais bien relire tout ce que tu mets, car je me (...)
30/01 20:11 - raymond
28/01 14:28 - Julien30
Arnaud, je sais bien que vous rigolez l’ami, je trouvais juste que vous alliez loin dans (...)
27/01 22:58 - JL
27/01 22:44 - Arnaud69
@ Julien30 Je vous rassure je plaisante mais je vous inquiète aussi : Ces prochaines années je (...)
27/01 21:32 - Roungalashinga
Vous savez JL, quand vous avez conclu sur notre différence de valeurs (dont on n’a (...)
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