1. Le « pitch » de mon papier c’est : comment le Grand Capital expoite les mécanismes monétaires, économiques, et politiques pour entuber les pauvres au gros gravier ; le gros plan est fait sur la monnaie mais je prévois d’en parler sous d’autres points de vue. C’est plus clair là ?
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2. Je ne suis pas de mauvaise foi, simplement là, je ne fais pas de la littérature, de la poésie, ou du pamphlet mais de la vulgarisation politique, ce qui impose une certaine rigueur.
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Je peux jouer au con avec vous aussi, regardez - si on retourne votre « critique » dans l’autre sens, ça donne à peu près ça :
plutôt que de nommer les choses par leur nom, on peut leur mettre des étiquettes qui en soi ne veulent rien dire, mais pour quelqu’un qui a eu une mauvaise expérience avec des représentants du Peuple Élu, il est évident que « Goldman » ou « Rotschild », sont des noms renvoyant à une origine juive-ashkhénaze. Du coup on n’est plus dans l’histoire du méchant riche qui entube le gentil pauvre, mais dans le Grand Complot Judéo-maçonnique International. Ne seriez-vous pas un peu antisémite, par hasard, M. le Psy ?
C’est pas parce que vous avez été traumatisé par des Juifs qu’il faut de suite songer à la solution finale, hein. 
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Vous voyez bien qu’à ce tarif-là on tombe vite dans le dadaïsme absurde déjanté. Pour résumer : Rotschild, ça me parle pas, ça pourrait être le nom de mon concierge. Grand Capital, en revanche, ça me parle, et les règles du langage étant ce qu’elles sont, ça devrait parler à un maximum de gens. Si on veut toucher le maximum de gens, vaut-il mieux employer le nom de son concierge ou bien, appeler un chat un chat ?