« surenchère libérale ». Que c’est comique. 
Preuve d’une éducation nationale entièrement doctrinaire qui ne sait même pas ce quelle critique.
Le libéralisme est inexistant en France.
Tous les partis sont socialistes.
Tous sont subventionnées par l’état, tous les partis sont pour l’interventionnisme étatiste, tous croient que l’état fait le bonheur, tous sont Keynésiens. Tous vous balancent de l’anti-libéralisme à gogo sans jamais en avoir lu une ligne.
Heureusement on voit apparaître quelques espoirs. Le socialisme ne peut résister aux faits, et les gens commencent à le voir :
Les services publics ont beau être gavés de personnels, les résultats sont de pire en pire. La bureaucratie est partout.Ils ne constatent aucune corrélation entre l’accroissement de l’appareil d’Etat et la qualité du service. Vérité libérale.
La pression fiscale pour payer cette armée de réserve socialiste de rentiers de l’état n’a cessé d’augmenter, et se solde par un pouvoir d’achat qui stagne, ou recule.
ils considèrent qu’ils n’en ont pas pour leur argent.
Le social ne profite qu’aux mêmes, les fonctionnaires, les journalistes, les élus, les proches de l’état. On leur dit qu’ils sont attachés aux système social.
Ils comprennent maintenant le sens du mot « attaché » comme ligotés à payer des privilèges pour les profiteurs du social, les fonctionnaires, les agents de l’état....
L’observation des pleurnichards ne fait plus de doute.
Les privilégiés de l’état, les bénéficiaires de régimes spéciaux et droits sociaux différenciés sont les repères du gauchisme. Leurs pleurs « sociaux » et leur réclamation de « solidarité » ne trompe plus personne. La solidarité qu’ils réclament c’est avant tout pour leur gueule et payable par les autres.
Larmes de crocodile !