Vous écrivez :
Créer des sociétés où les gens jouissent de la santé de base, une
relative prospérité, l’égalité fondamentale en droits sociaux et l’accès
aux moyens contraceptifs est la seule voie vers un monde durable.
Là, je ne vous comprends pas ???? Cette phrase n’ a rien du libéralisme ! Puisqu’il faut pour cela passer par une action commune, sociale.
Ensuite vous critiquez ceux qui prophétisaient de « terribles famines à l’aube du XXIème » et se sont trompé, pour ensuite sortir votre propre prophétie ??? êtes vous sûr que la votre ne sera pas aussi prophétique que les autres ???
La surexploitation des ressources dû au gaspillage systémique provoqué par le libéralisme, montre déjà ses conséquences, dont on peut douter qu’elles attendent 2035 pour faire sentir leur effets dévastateurs.
Pour répondre à ses crises écologiques et sociales présentes et à a venir provoqué par le libéralisme économique, il est difficile de penser que ce dernier soit aussi le remède.
Quoiqu’il en soit, cela n’a pas d’importance fondamentale, ce qui compte pour les peuples qui composent l’humanité est de savoir dans quel environnement ils veulent vivres eux même et laisser à leur descendants. Ici, nous ne sommes plus face à des choix individuels, mais face à des choix collectifs générationnel à décider ce que celle ci laisse en héritage commun aux génération suivantes.
Alors, cher Spartagus, la diminution de la pauvreté est dû au progrès technique et celui ci n’est pas dû au libéralisme, mais à la soif de connaissance. Or, si cette soif de connaissance se fonde sur la liberté individuelle, cette dernière se fonde sur le principe de la coopération des uns avec les autres et non sur l’exploitation des uns par les autres.
La liberté individuelle commence et s’arrête à soi même, au delà, elle se nourrit en privant autrui de sa liberté.