Je m’excuse mais lorsque l’on se hasarde sur le terrain des domaines associés du climat et de l’énergie il vaut mieux bien connaitre les sujets.
Ainsi cet article commence par une grosse contrevérité. Dans les faits il n’y a plus de réchauffement climatique au sens de sa définition, c’est à dire l’évolution de la température moyenne à la surface du globe, depuis près de 17 ans.
On ne peut nier qu’il y ait des phénomènes extrêmes parfois amplifiés, le terme exact serait donc changement climatique éventuellement si cela prennait des proportions globales.
Rappelons tout de même que nos experts du réchauffement annoncaient, entre autres, aux Lyonnais qu’ils allaient bientôt bénéficer d’un climat méditerranée.
L’article fait d’ailleurs le constat que dans les politiques énergétiques réelles des états, les considérations sur les émissions de CO2 sont complètement mises de côté. Le Giec [organisation étatique n’est donc pas capable de convaincre les états !]
Sinon l’Allemagne garderait son nucléaire dont elle n’est d’ailleurs pas encore sorti
Beaucoup de bêtises ont été dites sur la fracturation hydraulique. Dans le but de faire peur aux gens, ce qui est une constante chez un certain nombre d’ « écolos » professionnels qui défendent ainsi leur fond de commerce.
Il n’y a pas de vie moderne, pas d’emplois, pas de progrès économique sans énergie.
Lorsque la Chine affiche un taux de croissance élevé alors que sa consommation d’énergie stagne, les économistes sérieux ne la croient pas.
La géopolitique du Moyen orient est en train de basculer parce que tandis que la production de pétrole de l’Arabie saoudite sature, l’Iran monte en puissance sur le pétrole et le gaz naturel.
Le problème actuel est que les ressources énergétiques se raréfient.