"La loi n’a pas encore modifié la biologie : deux homosexuels ne peuvent avoir d’enfants ensemble. Mais
la science permet de pallier cet inconvénient.«
Voici exposée en peu de mots l’idéologie complètement folle des Prométhées du lobby LGBT. Ils imaginent très sérieusement que la Science (je mets une majuscule car il s’agit pour ces gens-là d’une authentique divinité), main dans la main avec sa sœur la Loi, donne à l’Homme la complète maîtrise, non seulement de la nature, mais aussi de sa nature, modifiable en fonction des caprices de tel ou tel groupe plus ou moins groupusculaires. A ce titre on notera d’ailleurs l’acharnement de EELV sur ces histoires de PMA/GPA, qui démontrent clairement que ces gens-là son à l’écologie ce que le steak tartare est au végétarisme.
Pauvres petits êtres pathétiques que ces hommes et ces femmes en lutte contre un »ennemi« qui peut les balayer d’une pichenette, et qui a d’ailleurs déjà commencé à le faire. Les études récentes (je pense par exemple au professeur Urs Scherrer) montrent que les enfants fabriqués par PMA/GPA souffrent de maladies et de faiblesses chroniques, dégradant leur qualité de vie et impactant leur espérance de vie.
De là, on peut faire le lien entre l’obsession »créatrice« de la GPA et de la PMA (qu’au passage on devrait interdire, y compris pour les couples hétérosexuels) et son pendant mortifère, l’avortement et l’euthanasie. L’enfant (ou le vieillard dans le dernier cas), l’Humain d’une manière générale, sont réduits à l’état de simples sacs de viande dont d’autres, au nom de leur force, décident de la vie et de la mort. Car j’entends d’ici l’argumentation du camp scientiste : ces »défauts« des enfants fabriqués seront progressivement corrigés, du fait des expérimentations en la matière. Les »défectueux" sont donc sacrifiés pour faire avancer la Science. Une divinité, écrivais-je plus haut.
Aussi bien peut-on se demander ce que feront ces militants LGBT qui veulent avoir recours à ces méthodes prométhéennes dégénérées, lorsque leur gosse crèvera d’un problème cardiaque ou pulmonaire ? La réponse est, hélas, évidente.
Ils balanceront le cadavre à la poubelle, puis iront tranquillement en commander un nouveau sur Internet.