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Commentaire de Morpheus

sur L'élève agresseur sexuel à l'école primaire


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Morpheus Morpheus 5 février 2014 12:00

Quand vous dialoguez avec l’enfant, et que vous l’écoutez, vous produisez un lien d’empathie : se sentant écouté (et non brimé ou grondé), l’enfant, même rebelle ou turbulent, sent que vous le considérez comme une personne, plutôt que comme un enfant devant se soumettre à l’autorité de l’adulte.

Si en plus de cela vous lui proposez un contrat (qu’il peut bien sûr refuser, mais en connaissance des conséquences que le refus peut avoir), l’enfant est directement responsabilisé et, de ce fait, il se sent à égalité avec ses interlocuteurs adultes. Il est responsabilisé vis-à-vis du contrat qu’il passe, donc vis-à-vis de lui-même ET des cocontractants (les tuteurs et l’école).

C’est bel et bien tout le contraire du rapport de force. Cela s’inspire notamment des technique de communication non violente - ou empathique (CNV).

CQFD


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