Il me semble que le débat progresse de jour en jour.
1) D’après nos plus grand scientifiques, être adepte du genre est une pathologie.
2) D’après nos ministre, « il n’y a pas de théorie ». Dont acte. Ce truc ne saurait donc en aucune mesure trouver sa place dans nos écoles.
3) Notre école est publique et laïque : on ne voit pas comment des plus ou moins spécialistes associatifs, aux compétences et diplômes mal définis, dans un domaine qui ne dispose pas de corpus théorique, pourraient être payes pour participer a l’exercice même du service public de l’éducation nationale. Pourquoi pas inviter les gens du MEDEF pour enseigner l’entreprise ? Et encore, la, il y a des vraies théories de entrepreneuriat...
Je le remet, parce que je pense que cela mérite d’être diffuse :
enfin, la faculté et les sciences nous donnent des éléments de
compréhension de cette idéologie, fondes sur une vraie théorie et une
base scientifique.
Citation extraite d’un entretien de Boris Cyrulnik, neurospychiatre et éthologue :
"Les partisans de la théorie du genre considèrent qu’on éduque distinctement les filles des garçons pour perpétuer la domination masculine. Les croyez-vous ?
Je ne crois pas du tout à la suprématie des garçons, bien au contraire. Vers 17 mois, les filles disposent de cinquante mots, de règles de grammaire et d’un début de double ré-articulation, par exemple être capable de dire « ré-embarquons », au lieu de « on va encore une fois dans cette barque ». Avec quatre phonèmes, les filles expriment un discours. Les garçons obtiennent cette performance six mois plus tard ! 75 % des garçons commettent de petites transgressions (chiper un biscuit, pincer un bras, etc.), contre 25 % des filles. Alors ces filles, plus dociles, parlant aisément, sont bien mieux entourées. Il est plus aisé d’élever une fille qu’un garçon. D’ailleurs, en consultation de pédopsychiatrie, il n’y a que des petits garçons, dont le développement est bien plus difficile. Certains scientifiques expliquent ce décalage par la biologie. La combinaison de chromosomes XX serait plus stable, parce qu’une altération sur un X pourra être compensée par l’autre X. La combinaison XY serait, elle, en difficulté évolutive. Ajoutons à cela le rôle majeur de la testostérone, l’hormone de la hardiesse et du mouvement, et non de l’agressivité, comme on le croit souvent. À l’école, les garçons ont envie de grimper aux murs, ils bougent, ils souffrent d’être immobilisés. Or notre société ne valorise plus la force et le courage physique, mais l’excellence des résultats scolaires. Elle valorise la docilité des filles.
Pourquoi n’avoir rien dit dans cette querelle autour de la théorie du genre ?
Je pense que le « genre » est une idéologie. Cette haine de la différence est celle des pervers, qui ne la supportent pas. Freud disait que le pervers est celui qu’indisposait l’absence de pénis chez sa mère. On y est."
Être adepte du « genre » est donc une pathologie psychiatrique reconnue. Mais bon, il y en a d’autres.
Mais le problème ne s’arrête pas la.
CE N’EST PAS UNE THÉORIE !, On nous le répète assez.
"Une théorie est un ensemble d’explications, de notions ou d’idées sur un sujet précis, pouvant inclure des lois et des hypothèses, induites par l’accumulation de faits trouvés par l’observation ou l’expérience."
On ne peut pas raisonnablement prévoir a l’école, l’enseignement d’un
domaine qui n’est pas une théorie ou ne repose pas sur une théorie.
Dans
la definition même des sciences entre le fait qu’elles reposent sur des
hypothèses contestables. De ce point de vue, il existe même une science
historique, des théories de l’histoire.
En affirmant ne pas être
une théorie, en affirmant comme on le voit dans beaucoup d’article le
caractère englobant du genre ( cela ne sert a rien de le contester
puisqu’on est de toute façon dedans), le genre s’affirme, en plus d’une
pathologie, comme une croyance obscurantiste et non scientifique ( non
contestable).
De bonnes raisons supplémentaires de refuser absolument l’introduction de ces croyances dans notre école laïque.
10/02 10:47 - Hermes
@Trevize Bonjour, oui, mais je ne dirais pas que c’est le respect de soi que l’on (...)
09/02 21:10 - franc
Je crois qu’on nage en pleine confusion ,les féministes hystériques partisans de la (...)
09/02 17:39 - Corinne Colas
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08/02 21:24 - eric
A pere plexe, j’ai l’impression que vous êtes en train de prendre conscience, ou (...)
08/02 17:03 - Pere Plexe
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08/02 16:49 - Pere Plexe
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