« La liberté d’expression je la défends, je la promeus », a assuré la ministre de la Culture, précisant qu’elle défendait « la liberté de création artistique ».
Et pourtant, toutes ces interventions concernant le Net montrent que, malheureusement, Mme Filippetti, ne comprend absolument pas les enjeux de cette nouvelle technologique.
Mme Filippetti est réellement une piètre ministre de la culture.
Non
seulement en ce qui concerne les métiers du spectacle, de la radio, de
la musique mais aussi, concernant la littérature. Elle ne comprend rien à
la révolution littéraire et artistique que représente Internet.
Elle n’a pas compris que les nouvelles plateformes comme Amazon permettent de libérer l’écrivain du joug des éditeurs.
Les taxes qu’elle préconise ne sont là que pour protéger les éditeurs/producteurs bourgeois français...
Une très bonne analyse à ce sujet faite par un écrivain : http://www.sens-public.org/spip.php ?article1054
Dans ce pamphlet « balzacien » intitulé "Les Rentrées Littéraires et Mme
Filippetti, Ministre de la Culture et romancière", Roberto Gac rappelle
le
conflit d’intérêts flagrant qui existe entre la fonction ministérielle
de Filippetti et sa qualité de romancière éditée et payée par le groupe
Lagardère, propriétaire de Stock....
Pas étonnant qu’elle soit convaincue que la littérature n’est pas faite par les écrivains mais par les éditeurs ....