« compréhension de l’autre »
en sachant qu’on ne peut empêcher les projections de chacun (sans compter les siennes) : médecins, enseignants, éducateurs ou parents.
j’ai donc le sentiment que cela ne peut fonctionner que si l’on accepte l’idée que ce n’est pas toujours possible justement. C’est peut être ça le respect de l’autre dans l’univers du handicap...
A des années lumières de là, il faut en plus lutter contre les préjugés d’un système qui n’accorde son respect qu’à ceux qui le servent. Ceux qui en dépendent, sont appelés à être de moins en moins tolérés avec les crises qui vont s’amplifier.
C’est vrai qu’aux Pays-Bas, il y a une avance par rapport à la France y compris pour la prise en charge de troubles méconnus. Cela pour des raisons de partenariat, d’ouverture vers les chercheurs étrangers.
C’est un état d’esprit peu répandu chez nous alors difficile de déverrouiller l’information, l’édition se désintéressant de la faire traduire lorsqu’elle provient de là-bas.
J’en parle en connaissance de cause : j’ai été contacté il y a longtemps par un médecin néerlandais désirant faire traduire ses bouquins en France sur un syndrome nous tenant à coeur tous les deux.... Il attend toujours !