A nouveau, il ne faut pas trop s’affoler. Le genre n’est qu’une des variantes de la sempiternelle croyance religieuse manichéenne de gauche. Il y a des opprimes et des oppresseurs, des bons et des méchants, et quand le parti, par l’outil de l’État aura réussi a créer un homme nouveau, nous connaitrons l’avenir radieux.
Dans ce style, il y a aussi le « durable » la recréation du lien social, le vivre ensemble, l’antiracisme raciste, la transition écologique etc...
Quand on es prend dico en main, tout ces termes sont aussi polysémiques, ne veulent pas dire grand chose et témoignent d’une volonté néo totalitaire. Il n’est même pas sur que le genre soit le plus absurde et le plus dangereux.
Juste, avec le genre, on voit mieux ou ils veulent en venir...
La dedans, il y a une chose nouvelle et une qui ne change pas.
Désormais, les gauches française copient servilement leurs modèles idéologiques aux Etats-Unis. Avant, c’était dans d’autres pays.
Ce qui ne change pas, c’est qu’avec la place de l’État dans notre pays, et la place des gauches dans notre état, c’est beaucoup plus dangereux qu’outre atlantique, ou il y a plus de démocratie de tolérance et de liberté d’expression.
Lutter contre la doxa du genre dans l’idéologie socialiste est une bonne chose. Mais le vrai combat sera d’introduire des procédures qui remettent l’État sous le contrôle et au service des citoyens.
Dans un tel, contexte, il pourra même rester des allumes du genre qui auront toute leur place, mais ils n’auront plus les moyens d’essayer de s’imposer en douce contre la démocratie.