C’est un article remarquable de pondération et d’explication de texte. Mais rien ne semble devoir être remis en cause. Au prétexte du trauma de la communauté juive sur cette affaire de la shoah toute distinction entre sionisme et religion juive est rejetée par le lobby juif qui tient les postes de pouvoir de la société (presse écrite, radio,TV, avocats, banques, people, monde intellectuel, politique). C’est une élite qui exerce une profession en victimisation et cette posture fédère les liens tribaux de la diaspora et culpabilisent les athées et les opinions philosophiques. Les lois répressives successives (Gayssaut) traduisent les opinions divergentes par la mise au ban de la culture officiellement admise. Les postes clés tenus par les élites juives leur assurent un pouvoir d’autorité, dans l’information et la communication, donc la propagande. Un ordre moral indépassable puni depuis peu par les tribunaux. L’antisémitisme (mot vague et abstrait pour les gens ordinaires) ne serait pas une opinion mais un délit (comprenez un crime potentiel dans la finalité). La messe est dite. La liberté de pensée et la liberté d’opinion sont prisonnières de fait par la Loi française. Il faut se taire ou s’excuser sinon le manque de surmoi freudien exposera celui qui sortira du dogme. On voit bien qu’il est toujours possible de se risquer à critiquer la politique d’apartheid de colonisation d’Israël mais que, rapidement vous êtes mis dans un corner : anti-sionisme=anti sémitisme. Pire : antisémite= nazi. Même les juifs progressistes sont bannis par leurs pairs ( exemple : Stéphan Essel, Ronnie Braumann, Alain Gretsh et bien d’autres). Le président Obama lui même, s’est fait retoqué chez lui par le lobby juif de Wall Street dans la ligne de l’intervention de Nethanyaou au Congrés américain sur la rétro cession des territoires occupés depuis 1967.
La boucle est bouclée. C’est une martingale gagnante qui a pénétré les intellectuels, les journalistes, les politiques, bref l’opinion officiellement véhiculée.
Etre anti-communiste déclaré c’est une opinion, pas un délit. Etre anti-islamique (pensant aux intégristes du jihad) c’est évident c’est une opinion. Pas un délit. Etre anti ecclésiastique ( les Femen) c’est bien vu c’est une opinion.
Pourtant il faudra bien que ce carcan totalitaire de l’esprit nous sommant de courber l’échine pour la liberté de pensée, cède un jour. Les hommes politiques ont toutes les audaces pour se maltraiter, sur tous les dogmes. Sauf celui là.
En premier il faudra les désavoués avec leur suppôts à savoir la presse officielle. Par ailleurs cette illégitimité de position va de plus en plus être remise en cause par les effets pervers qu’elle induit.
Tous le monde se rend compte que les lignes de fractures vont devenir insupportables à juguler généré par le sionisme religieux d’Israël, vécu comme un véritable affront à la raison politique envers le peuple palestinien martyrisé.