Autre chose rassurante, des sociétés industrielles retiraient leurs investissements de ces territoires.
Le renoncement des entreprises occidentales à traiter avec Israël est le plus souvent symbolique et n’a pas d’impact sur l’économie.
quelques exemples parmi des centaines :
- quatre grands opérateurs portuaires, dont trois sociétés européennes, font des offres pour gérer des infrastructures portuaires en Israël.
-Israël a été admis au sein du Centre européen de recherche sur le nucléaire (Cern) en tant que premier membre à part entière non européen
-rachat par la société irlandaise Covidien de l’entreprise de matériel médical israélienne Given Imaging
- rachat par Apple de PrimeSense, une start-up de haute technologie
- rachat de 40 % de Caesarea Medical Electronics par Carefusion, une société de San Diego – des contrats qui représentent au total plus de 1 milliard de dollars.
-La société néerlandaise qui produit la série télé à succès Big Brotherinvestit dans l’un des franchisés de la chaîne Aroutz 2.
-La participation d’Israël au programme Horizon 2020 de l’Union européenne
L’UE a inscrit dans l’accord une clause prévoyant le boycott des colonies, mais elle était très déterminée à faire participer Israël à un programme qui va se traduire par des millions de dollars alloués aux chercheurs. ![smiley](//www.agoravox.fr/smileys/sourire.png)
Vous savez, la grande majorité des boycotteurs ne sont pas liés à Israël et ne consentent pas un grand sacrifice en cessant de travailler avec ce pays. De même, ils ne font pas grand mal matériellement à Israël.