Parlant de la presse écrite à la Libération
(la précédente, celle qui a déjà eu lieu) Albert Camus a dit aussi ceci :
"On
nous a dit : c’est cela que veut le public. Non, le public ne veut pas cela, on
lui a appris pendant vingt ans à le vouloir, ce qui n’est pas la même chose...
mais si vingt journaux, tous les jours de l’année, soufflent autour de lui
l’air même de la médiocrité et de l’artifice, il respirera cet air et ne pourra
plus s’en passer".
Il y a aujourd’hui une affirmation
particulièrement écoeurante que des journalistes des « grands » médias
ont réussi à faire admettre comme une évidence : l’islamophobie serait une
forme de racisme, de xénophobie, de haine de l’autre parce qu’il est différent.
L’un des plus préoccupants problèmes de la
France actuelle - son islamisation
progressive - est ainsi devenu interdit de réflexion tant on "respire
l’air du mensonge quotidiennement médiatisé".
Il en est de même du problème, très lié, du
« grand remplacement de peuple », selon les justes termes de Renaud Camus, par la
politique d’immigration de ceux qui ne
veulent pas s’intégrer et qui détruisent les valeurs du pays d’accueil avec la complicité des gouvernants
sarkollandiens.