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Commentaire de L’Oeil qui court

sur Emmanuel Giboulot, infirmier de la terre et protecteur des abeilles, condamné ?


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L'Oeil qui court L’Oeil qui court 25 février 2014 13:07

Décidément Professeur Tournesol, ce sujet vous touche. Vous vous échauffez !

Quel type de vin produisez-vous ? Et où se situe votre vignoble ?
Un test comparatif avec celui d’Emmanuel Giboulot pourrait être intéressant.

Je souhaiterais que vous communiquiez les coordonnées du stage de « biodynamie » que vous avez suivi. Votre argumentation très fournie sur la mauvaise qualité de cette formation (une semaine, c’était les prémices de l’initiation, non ?) évitera à l’un ou l’autre de se fourvoyer.

Quant à nos scientifiques, il y en a de tout bord, de toute obédience et de mauvaise foi. Finalement, ce sont un peu des hommes comme les autres. Certains prônent des solutions radicales : ils ont même inventé l’amiante, les engrais chimiques de synthèse dont le glyphosate (round up) et la bombe atomique. Comme moyen de destruction massif de la cicadelle, ce serait peut-être un peu démesuré à y réfléchir. Mais sans doute tout à fait radical.

Comme les peines prévues par le législateur contre l’agriculteur qui refuse d’empoisonner sa terre sur décision des préfets.

Parmi les scientifiques, je vous conseille l’écoute de Hubert Reeves, de Jean Marie Pelt, de Lydia et Claude Bourguignon. Ce sont des gens qui aiment la terre et la vie.

Et puis cette loi adoptée le 19 novembre 2013 au Sénat par 192 voix pour et seulement 4 contre, serait d’après vous une erreur d’appréciation de la part de nos représentants ?

Adoption à l’Assemblée Nationale de la loi « visant à mieux encadrer l’utilisation des produits phytosanitaires sur le territoire national »

et qui concerne en fait

Article 1er
Interdiction pour les personnes publiques, à compter du 1er janvier 2020, d’utiliser des produits phytopharmaceutiques pour l’entretien des espaces verts, forêts et promenades ouverts au public, sauf pour la lutte contre la propagation des organismes nuisibles.

Article 2
Interdiction, à compter du 1er janvier 2022, de la vente, de l’utilisation et de la détention des produits phytopharmaceutiques pour un usage non professionnel, sauf pour la lutte contre la propagation des organismes nuisibles, et sanction applicable en cas de non-respect de cette interdiction.

 


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