« Entièrement tourné vers l’autonomie, la désaliénation, et la libération du travail... »
Le vrai homme lambda, il en a rien à cirer de tout ça... Ce sont des revendications d’întello qui essaie de se mettre dans les nippes du vrai homme lambda, en lui prêtant les aspirations qui sont les siennes. Il y a là une forme d’empathie aussi artificielle, erronée et vaine que les autres.
Tout ce que veut le vrai homme lambda, c’est être correctement rétribué pour son labeur, avoir un niveau de vie décent, c’est-à-dire avec ce qu’il faut de raisonnablement superflu, savoir qu’il peut compter sur l’engagement de son employeur pour pérenniser l’entreprise et les emplois qu’elle induit...
Et puis, à partir de cette bonne base, le vrai homme lambda entend privilégier les siens plutôt que le relèvement solidaire de la condition des « ghettoïsés » de banlieue, comme des mal- et des sous-développés du tiers-monde.
Il rejette donc ceux qui viennent l’em...der avec des théories libératoires universalistes et fraternitaires. Et c’est ce qui explique les débâcles électorales récurrentes des mouvements chimériquement « progressistes » et utopiquement mondialistes.
Mais que cela ne vous empêche pas de continuer à sodomiser les diptères entre vous.