je parlais des immigrés, donc forcément je mettais l’accent sur les immigrés et leurs descendants.
Mais si la relégation s’applique déjà aux non immigrés, elle s’accentue encore plus avec les immigrés, à cause des préjugés des employeurs etc...
Si pour les un habiter ces quartiers est un handicap, pour les immigrés et leurs descendants c’est un double handicap.
En fait si, ces quartiers ont été faits à une époque spéciale où loger à tout prix avait plus d’importance qu’autre chose.
oui c’est vrai c’était plus moderne que les vielles habitations de centre ville, genre la baraque sinistre avec comme seule fenêtre donnant sur une cour intérieure, et les WC sur le palier.
On a fait de grandes barres d’immeubles éloignées du
centre ville, certains séparés par de grandes avenues du reste de la
ville etc.... En général il y avait pas de commerce de proximité, pas
forcément de zone verte, d’aire de jeu , pas de service public etc...
Comme j’ai entendu sur un quartier destiné à de riches touristes à part que c’’st des villas et que là il y a du sable et de la verdure « ce n’est pas un quartier »
A cela s’est ajouté les 30 piteuses, qui ont dégradé les conditions économiques des habitants, ce qui a eu un impact sur les comportements des habitants.
Bien sûr que l’état, les collectivités est en partie responsable, il a lassé faire en partie, parfois il y a eu des désengagements, , il y a eu sarkozy qui a retiré la police de proximité, pour la remplacer par la police qui vient que quand il y a des problèmes.
Et comme dit le proverbe quand les chat n’est pas là les souris dansent.
mais si tu lis tout mon message tu verrais que je dédouane pas une partie des personnes concernées.
il y a aussi des tendances culturelles, contre productives dans notre pays qui n’est pas un pays autoritaire, sur l’éducation des garçons qui favorisent ces phénomènes.
Mais la part de al société à transformer ces quartiers en quartiers de relégation y joue aussi un grand rôle.
La preuve c’est que certains jeunes se sentent traités comme des étrangers, des suspects dés qu’ils sortent de leur quartier.
Quand un jeune qui n’a rien fait se voit refuser certaines choses, un boulot essentiellement , parce qu’il vient du quartier qui craint, est ce sa faite ou celle de celui qui a joué sur les préjugés ?