?...peu importe, elle a été parlée.
Cette carte est très...« parlante »...
http://www.geobreizh.com/breizh/fra/carte-langue.asp
Rennes fut une zone d’émigrés bas-bretons. Mais, certes, la frontière
romanophones/brittophones progresse rapidement vers l’est.
ça aussi, très intéressant :
"Il est vraisemblable que c’est à l’occasion de ces séjours [à Rennes]
que le jeune Descartes a pu entendre parler breton dans quelques
arrière-cours, [pas qu’un usage pour le commerce ou la justice
donc] ce qui expliquerait l’allusion du Discours de la Méthode :
"Ceux qui ont le raisonnement le plus fort, et qui digèrent le mieux leurs
pensées, afin de les rendre claires et intelligibles, peuvent toujours le mieux
persuader ce qu’ils proposent, encore qu’ils ne parlassent que bas-breton,
et qu’ils n’eussent jamais appris de rhétorique« »http://www.wiki-rennes.fr/index.php...
Et aujourd’hui, Rennes est la ville ou l’enseignement du breton est le plus
répandu. Les choses évoluent...
Et oui, concernant l’utilisation des revendications
autonomistes/indépendantistes, on sait à qui cela sert, on est d’accord.
Mais la défense des identités régionales n’est pas incompatible avec la
préservation de la cohésion de la nation.
5% de locuteurs bretons, -80% de locuteurs en 60 ans...pas
de quoi s’inquiéter pour le français.
Ensuite le rapport Auvergnats, « grande Serbie », etc. C’est confus...