Ce n’est pas la police, c’est la Gendarmerie.
Qui non seulement n’intervient pas, mais vérifie que l’alimentation électrique de la clôture est bien coupée.
Lorsque l’on a l’appui et la complicité notamment d’un parti qui est au gouvernement, on n’a rien à craindre.
Nos services de renseignement très performants comme on sait, servent à prévenir la gendarmerie de ne surtout rien faire. Consigne valable pour l’exploitant également ;
De toute manière on sait que les intrus ne risquent rien au niveau de la justice. Dans le jeu convenu, ceux-ci s’arrêtent aussi avant que les arrêts d’urgence des réacteurs soient déclenchés.
*La perte brutale sur le réseau de près de 2000 MWe est susceptible de provoquer un black out au niveau européen.
*D’autant que ces réacteurs ont un rôle important pour la stabilisation du réseau électrique par adaptation de la fréquence.
Cela démontrerait le caractère indispensable du nucléaire, donc il vaut mieux éviter cet arrêt brutal de la centrale.
Greenpeace est une organisation au financement douteux [nos médias évitent de préciser quels intérêts industriels et financiers internationaux participent au financement de cette organisation qui disposent de moyens importants et de nombreux permanents]. En ce moment, c’est un vrai festival de manipulations d’ONG à des fins y compris guerrières.
Il n’est pas douteux que des intérêts financiers veulent détruire notre nucléaire, ce qui est le plus sûr moyen d’asservir notre peuple. D’autant que dans le même temps, Greenpeace se fait l’agent commercial du PV et de l’éolien. Qui ne présentent pas d’autres intérêts que de constituer une bulle financière comme le système les aime.
Nous avons aussi droit au sempiternel argument du terrorisme. Mais concrètement, lorsque des actes de cette nature sont commis cela se passe dans le métro, dans la rue, devant un bâtiment officiel... comme en Russie.
Percer l’enceinte réacteur, ne signifie pas automatiquement l’enchainement de l’accident réacteur grave.
Cette action commando de Greenpeace montre surtout que les anti nucléaires peinent à mobiliser les gens. Ils ne renoncent pas pour autant, à vouloir imposer leur point de vue minoritaire.
Fessenheim ne sera pas fermée sous Hollande, qui n’est même pas sûr d’aller au bout de son mandat au train où se dégrade notre situation [on peut lui faire confiance néanmoins pour s’accrocher à ce qui lui restera de pouvoir lorsque Bruxelles et les Banques auront pris les choses en mains].