Berniolles
un reportage bidonné ?!!!
comme vous y allez !
Des forages profonds de 1.000 à 3.000 m, puis l’injection d’un fluide composé d’eau, de sable et de détergents sous pression (600 bars), sont requis pour fracturer la roche et libérer le gaz. Ces opérations auraient déjà causé des contaminations de nappes phréatiques outre-Atlantique, à la suite notamment de fuites d’hydrocarbures le long des tubages. Par ailleurs, entre 2 et 8 % du combustible extrait seraient relâchés dans l’atmosphère au niveau des puits (toujours aux États-Unis). Or, il se compose majoritairement de méthane (CH4), un gaz à effet de serreconsidérablement plus puissant que le CO2.
Les installations de surface doivent reposer sur des sols bétonnés ou goudronnés reliés au réseau routier. Un gazoduc est également requis pour évacuer la production. Au total, chaque exploitation occuperait une surface moyenne de 3,6 ha. Or, les gisements de gaz sont relativement petits. Environ 50 puits seraient nécessaires pour produire autant de combustible qu’un seul puits en mer du Nord ! L’exploitation du gaz de schiste pourrait donc provoquer une fragmentation des paysages. Enfin, un forage nécessite quelque 20 millions de litres d’eau, soit la consommation quotidienned’environ 100.000 habitants ! Cette liste d’éléments à charge n’est pas exhaustive.
l’article complet paru dans « futura sciences », est sur ce
liendes scientifiques américains vont encore plus loin, évoquant un risque de radioactivité.
Les scientifiques de l’EPA ont beau s’alarmer, mettant en garde contre une radioactivité dangereusement élevée dans l’eau du robinet, rien n’a été fait pour contrôler le retraitement des eaux issues des forages. Et les autres effets collatéraux des gaz de schiste, notamment la pollution de l’air, inquiètent les chercheurs. « Les impacts de la fracturation hydraulique sur la santé, ainsi que des contaminations de l’air et de l’eau, ont été constatés dans au moins une douzaine d’Etats », témoigne Walter Hang, président de l’entreprise Toxics Targeting, qui collecte des données sur les forages de gaz.
Si aucun cas n’a encore été avéré, la contamination au radium des eaux de boisson ou des aliments peut être la cause de cancers. Au Texas, où de nombreux forages ont été creusés ces dernières années, le nombre d’enfants asthmatiques a fortement augmenté dans les villes voisines. article complet
alors...des reportages bidonnés ?