« et qui n’essaye pas d’endormir le lecteur, lorsque vous affirmez qu’il n’est pas plus dangereux que le sable de la plage... » J’affirme parce que c’est vraie, lorsque l’on parle de la radioactivité des plages de l’ouest américain, c’est due à la concentration en thorium présent et pas au césium de Fukushima qui se serait démultiplier suffisamment pour contaminer l’ensemble de la cote ouest. Chose qui a été vérifié, en analysant les différents niveaux d’énergie des rayonnements. http://www.google.fr/imgres?safe=off&client=firefox-a&hs=tTq&sa=X&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&channel=sb&biw=928&bih=446&tbm=isch&tbnid=WhcQt-0ktuwQaM%3A&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.metabunk.org%2Fthreads%2Fdebunked-fukashima-radiation-reaches-west-coast.2898%2F&docid=fAjBl-gdZxIzkM&imgurl=https%3A%2F%2Fwww.metabunk.org%2Fsk%2FIMG_6627.jpg_24483264_20140106_160031.jpg&w=739&h=582&ei=HHcwU4mEIuLH7AavqoGwBg&zoom=1&iact=rc&dur=296&page=1&start=0&ndsp=10&ved=0CFoQrQMwAQ
Bien-sur il y a des plages avec plus ou moins de thorium, en général plus de sable est noir plus il y a de thorium, mais cela reste une vérité dans le sable des plages il y a du thorium.
Quant à votre article, je notes que le journaliste (enfin j’imagine puis-je avoir le lien complet), supporte son argumentation plus sur les difficultés de la mise en place de cette technologie que sur une contradiction des vertus présumées de la technologie au thorium. Sur ce point je dirais que oui, le développement d’une technologie est couteuse et toujours plus ou moins risqué. Mais si on suivait le raisonnement du journaliste on ne devrait pas non plus financer l’accélérateur de particule, après tout en quoi cela rapport-il de l’argent, la recherche dans ce domaine n’est-elle pas une charge inutile pour le contribuable. Le simple fait qu’une technologie n’a pas encore développé suffisamment, n’est pas une raison suffisante pour ne pas la rechercher. Aurions nous due nous arrêter à la première voiture, au premier vaccin, le simple fait que l’on ai réussit à le faire une fois devrais au contraire nous encourager à aller de l’avant.
Le deuxième grand argument bien sur de cette article est que le thorium reste une énergie qui fonctionne par fission et donc inévitablement produit des déchets nucléaire. Certes il y aurait si je prends comme référence votre article de U-232, du technicium-99 et de l’iodine-129, mais considérer la chose comme ceci : Actuellement pour chaque tonne d’uranium transformé en électricité nous avons 100 tonnes de déchets, alors que dans un LFTR une tonne de thorium consommé nous aurons une tonne de déchet.
Il est bien plus préférable d’avoir pour environ la même quantité d’énergie produite, une tonne de déchet selon votre article plus dangereux que d’avoir d’avoir 100 tonnes de déchets un peu moins dangereux. Bien sur l’article ne prend pas non plus en compte que dans la conception des LFTR dans la mesure où l’on doit démarrer la réaction on aurait certainement besoin d’ancien déchet nucléaire. Je ne vois pas non plus mention de ce que j’expliquais plus haut quant à l’avantage d’avoir un cœur liquide dans la gestion des déchets nucléaire.
Mais bon j’imagine que cela rentre dans votre définition du terme désinformation : « il s’agit d’informer incomplètement le lecteur, en omettant une partie de la réalité ». Lorsque j’ai répondu je n’ai pas nier les déchets nucléaire que vous avez citer mais je l’ai mis en perspective par rapport à ce que ce fait actuellement et avec la manière dont ces déchets serait traiter lorsque ceux-ci viennent d’un cœur liquide et non solide comme actuellement. On ne peut pas dire que les déchets nucléaire provenant d’un LFTR seront aussi dangereux que ceux provenant d’un réacteur classique puisque ceux-ci ne seront pas traiter de la même manière.
Enfin je terminerais par pointer du doigts que vos arguments chocs sur la nocivité du thorium ne sont pas présent dans cette article. Je ne vois vraiment pas pourquoi le journaliste n’a pas pris la peine de pointer du doigts la plus grande faille du LFTR, ce poison terrifiant, limiter à 90bq/an, qu’est le thorium. Ni que celui-ci remet en cause les éventuels gains pour la sureté nucléaire, que vous pourtant mettez en doutes. Après tout le meilleur argument contre le LFTR, ne serait-il pas que celui-ci est tout aussi dangereux que les réacteurs classique.
J’imagine que tout ceci n’est qu’un malencontreux oubli de la part du journaliste.