Commentaire de Benoît RIVILLON
sur Les Professionnels de la Culture : ni Chômeurs-ni Quémandeurs
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Monsieur doit avoir raison, ce doit être des robots qui fabriquent les spectacles, les programmes, les mettent en lumière, en font les costumes, maquillent Gallienne, les filment, les doublent, éditent les DVD... Des machines, toutes seules, illustrent nos paquets de pâtes et font les affiches, des fantômes tiennent les 50 métiers qui forment l’industrie culturelle. Prenez l’opéra, les chanteurs sont en carton.
Derniers commentaires
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28/03 08:10 - bnosec
Arrétez de me prendre pour un con. Arrétez de me donner des cours d’économie pleins de (...)
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26/03 14:17 - Benoît RIVILLON
Monsieur ou Madame, La teneur de vos réponses me montrent bien pourquoi les victimes de cette (...)
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26/03 07:37 - bnosec
Je veux bien vous croire si vous me dites que l’opéra de Paris est excédentaire à ses (...)
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25/03 10:37 - Benoît RIVILLON
Pas de problème. L’opéra de Paris dégage des résultats excédentaires de 65M€ à sa (...)
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25/03 07:36 - bnosec
Les grandes gueules, en l’occurence, ce sont les intermitents. Des geignards quémandeurs (...)
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25/03 07:31 - bnosec
Pouvez vous alors me préciser le nombre de milliards dégagés par l’opéra (je me gausse) (...)
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