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Commentaire de egos

sur La chance de la France


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egos 3 avril 2014 00:35

a ffi brin_d’acier


small is beautiful, merci de corriger

votre post revient à juste titre sur le rôle de l’art 123 ds l’endettement de la nation, au niveau de la plupart de nos voisins européens, 
ce qui pose problème et fait la différence est notre capacité à apurer cette dette

les dispositions retenues visaient en ces temps à enrayer l’inflation (de l’ordre de 15 % en Fce, avoisinant 1000 % au Brésil) consécutive à l’injection de liquidités par la BDF, autant échanger un cheval borgne contre une vache tuberculeuse si la majeure partie de ces fonds, quelles que soient pers origines, n’est pas dédiée à financer l’investissement productif et les infrastructures du pays (y compris l’éducation et la santé)

ce ne fut manifestement pas le cas, en résumé la dette servit à abonder le compte d’exploitation déficitaire de l’état et non les actifs vitaux au maintien d’une industrie compétitive, l’emploi résulte ds le cadre d’un capitalisme de type industriel de la compétitivité (innovation) celle ci de l’investissement

un autre aspect des impacts négatif de l’injection de liquidités réside dans la stimulation de comportements spéculatifs orientant les capitaux vers ses placements à fort rendement sur très court terme, l’immobilier mais aussi des activités touchant au consumérisme, à ce jeux la imposante industrielle est disqualifiée.

L’appât du gain, les gigantesques empires qui se sont constitués sur les fuies de l’industrie nationale (rachats, concentrations, délocalisation ; vastes opérations immobilières) ont servi d’aiguillon à cette orientation, voulue ou acceptée par ttes les majorités pour des raisons convergentes

 La France s’est engagée il y a fort longtemps ds cette voie, tout comme l’Espagne et la Grèce récemment avec les conséquences que l’on connait.

ceci n’est pas lié a de simples facteurs dus au hasard ou à l’incompétence de nos dirigeants mais résulte de la permanence d’une idéologie post-coloniale associée à la volonté d’éliminer la classe ouvrière jugée potentiellement dangereuse au profit de populations tertiaires contrôlables par le biais d’une sté dévolue aux chames de la consommation.

Seul les us semblent tirer leur épingle de jeu à ce vaste Kriegspiel globalisé drainant la majorité des ressources humaines, financières et naturelles de la planète,

cela tient à leur domination liée au processus décrit précédemment à leur capacité à vendre du $, devise planétaire, en proportion de l’accroissement de l’économie mondiale pour un coût re revient qui équivaut à celui de sa production par1 imprimerie fiduciaire, les diverses vagues spéculatives venta en bonus

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